đŠ En Rapport Avec Le PĂšre De La Psychanalyse
GastonBachelard (1938, p. 23). Introduction. 1Le titre de mon rapport « De la fonction du pĂšre au principe paternel » reflĂšte le fil rouge de mon propos qui est de mener une rĂ©flexion Ă partir dâune triple question : quâest-ce quâun pĂšre dâun point de vue psychanalytique ; quelle est son origine ; quelle est sa fonction dans le psychisme individuel et dans le psychisme collectif ?
Dansle champ psychanalytique, la notion de pĂšre est investie dâune connotation bien particuliĂšre. Le pĂšre auquel nous nous rĂ©fĂ©rons reste, Ă certains Ă©gards, soustrait Ă lâacception commune que nous en avons dâemblĂ©e et quotidiennement en tant quâagent de la paternitĂ© ordinaire.
Cest en ça que la psychanalyse â de rĂ©ussir ! â prouve que le Nom-du-PĂšre on peut aussi bien sâen passer Ă condition de sâen servir. (Sem. 23, Leçon 10 : 13 avril 1976. Page 9). Alors maintenant le RĂ©el, le Symbolique et lâImaginaire plus le Nom du PĂšre, nous pouvons le comprendre comme un RĂ©el, Symbolique et Imaginaire
Etnotre intervenant de conclure : Pour certains, la psychanalyse est aujourdâhui plus orientĂ©e vers la foi que vers une croyance religieuse » ; Avec Michel Gad Wolkowicz, on pĂ©nĂštre lâintimitĂ© de Freud et son rapport ambigu avec le judaĂŻsme de ses pĂšres. Freud, rappelons-le, Ă©tait membre de la loge du BânaĂŻ Bârith de Vienne
Enrapport avec le pĂšre de la psychanalyse â Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. Recherche - Solution. Recherche - DĂ©finition. Rechercher Il y a 1 les rĂ©sultats correspondant Ă votre recherche . Cliquez sur un mot pour dĂ©couvrir sa dĂ©finition.
Lagressivité, la jalousie marquent les rapports du garçon avec son pÚre. Sa préoccupation principale est de devenir l'unique objet du désir de la mÚre. Le pÚre est un rival plus ou moins dangereux qui occupe la place convoitée dans le lit maternel. Une sorte de rivalité s'instaure entre le petit garçon et son pÚre. C'est celui des deux qui sera le plus fort, le plus grand, le plus
Freudmentionne le mythe d'Ćdipe pour la premiĂšre fois dans le cadre de son auto-analyse, qu'il dĂ©taille abondamment dans ses lettres Ă Fliess. Dans une lettre datĂ©e du 15 octobre 1897, Freud met ses propres dĂ©sirs sexuels infantiles pour sa mĂšre et
AprĂšsla mort de son pĂšre le 23 octobre 1896, Celui-ci est dĂ©fini comme le dĂ©sir inconscient d'entretenir un rapport sexuel avec le parent du sexe opposĂ© (c'est l'inceste) et celui d'Ă©liminer le parent rival du mĂȘme sexe (le parricide). Ainsi, le
LepĂšre en psychanalyse, entre ontogenĂšse et phylogenĂšse : repĂšres 1 L a prĂ©gnance dâune fonction paternelle dans le psychisme en tant quâhĂ©ritage phylogĂ©nĂ©tique prend une place importante dans les deux rapports sur « le paternel ». Cette question traverse toute
Ilnous parait important de mettre en relief ce pĂšre du quotidien qui vit avec lâenfant car dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, la question du pĂšre en psychanalyse est abordĂ©e dans la suite des travaux de Freud dans Totem et tabou, oĂč le pĂšre est considĂ©rĂ© principalement dâun point de vue phylogĂ©nĂ©tique, le meurtre du pĂšre de la horde primitive sây dĂ©clinant alors en une culpabilitĂ©
Avec« Sexe et genre, contre la normativité en psychanalyse » C-M François-Poncet.propose une discussion qui fait suite au texte de Paul Denis publié le 18 janvier 2022, Elle revient sur certaines propositions concernant la représentation de la différence des sexes dans la culture.
Lasolution Ă ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre S. CodyCross Solution pour PRĂNOM DE FREUD, LE PĂRE DE LA PSYCHANALYSE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes
Telleest la question posée par le livre. L'auteur étant psychanalyste et ayant travaillé auprÚs (d'équipes) de travailleurs sociaux en tant que formateur et superviseur, il explique ce que peut la psychanalyse dans le secteur social, et ce qu'elle ne doit pas viser. L'ensemble du discours de Papon est caractérisé par le retournement du
En2004, lâINSERM a produit un Ă©pais rapport dĂ©montrant lâinefficacitĂ© thĂ©rapeutique de la psychanalyse pour la majoritĂ© de troubles mentaux (PsychothĂ©rapie. Trois
Rediffusionde 8 conférences datant de 1970. Avec la participation de Roland Cahen, Gehrard Adler, Etienne Perrot, Aniéla Jaffé, Jolande Jacobi, Laurens Van Der Post et Edward Bennet ainsi qu'avec la voix de Gaston Bachelard (1955) Tous les soirs à minuit à partir du 19 février 2020 ou à podcaster sur le site de France Culture.
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Accueilmots croisĂ©srecherche par dĂ©finition Rechercher dans le dictionnaire Solutions pour les mots croisĂ©s et les mots flĂ©chĂ©s Lettre connue Utilisez la barre espace en remplacement d'une lettre non connue Solution pour la rĂ©solution de "pĂšre de la psychanalyse" Dictionnaire et dĂ©finitions utilisĂ©s DĂ©finition 66 mots associĂ©s Ă pĂšre de la psychanalyse ont Ă©tĂ© trouvĂ©. Lexique aucune lettre connue saisie RĂ©sultat 1 mots correspondants DĂ©finition et synonyme en 3 Ă 10 lettres En rapport avec le pĂšre de la psychanalyse PĂšre d'impairsBouchĂ©BĂȘteDĂ©nuĂ© d'intelligenceIl est reconnu sans jugementVraiment pas malinPrivĂ© de jugementManque de bon sensPĂšre du faonSa famille est hardeRuminant des boisGrand cervidĂ©Animal Ă boisLe grand-pĂšreGrand-pĂšre de pagnolPlat suisseSelon le film culte le pĂšre noĂ«l en est unePersonne digne de mĂ©pris
Face Ă la disjonction cette conjonction indiquĂ©e dans ce schĂ©ma, est-elle abusive dans une Ă©quivalence souvent trop Ă©vidente entre pĂšre et parole, retournement incessant, immĂ©diat, implicite entre Nom du PĂšre et PĂšre du Nom ?Face Ă quoi l'analyste est invitĂ© Ă se situer et intervenir, ne cessant pas de garder ouvert son dossier de fait il est trop rapidement, surtout aujourd'hui, Ă©vocateur de la structure, dâun âpur-cristal-structureâ, faisant rĂ©union d'une façon trop simpliste entre pĂšre et parole, Ă les confondre dans un avant coup, en un chaos originaire, le tohu-bohu de la Bible, en place de produire lâĂ©nigme du lien entre amour et haine sâappuyant su rle fameux narcissisme primaire, au point de remplir de mystĂšres la pratique de la psychanalyse autour dâun tel pur cristal structure plan clinique ce schĂ©ma ici est utile car il montre quâil sâagit du pĂšre symbolique voisinant en dessous de la feuille de papier avec un rĂ©el qui est trou vrai , vrai trou dans la structure habillĂ©e par du-pĂšre Ćdipien. Soit que du morceau de pĂšre fasse trou, donc en lien avec les trois ronds borromĂ©ens. Câest ce trou qui exige les trois ronds de ficelle et non lâinverse les conditions R S I de lâinconscient freudien sont telles que c est via ce trou que la psychanalyse surgit dans le monde .RĂ©el tel que lâen-dessous de la feuille de papier câest le fĂ©minin qui ne fait pas rapport avec le point pĂšre, car entre les deux faces de la feuille, existe son tranchant en plan frontal, existe un impossible Ă reprĂ©senter car le tranchant de la feuille de papier est de ce rĂ©el .2 Alors la pratique psychanalytiqueâŠ.Pratique qui n'en demande pas tant puisque prĂ©cisĂ©ment de par la dynamique qui lui est singuliĂšre, elle interroge l'advenue Ă l'existence et les modalitĂ©s d'application de ce pur-cristal-structure et dont seuls ses avatars sont en perceptibles dans une cure. .Soit du coup de poser la question de l'imaginaire, la question du corps comme rapport possible au pĂšre question, par exemple, inscrite dans les manuels de psychanalyse Ă la rubrique â Figures du pĂšre â.Un document, pris dans l'art cinĂ©matographique, va nous Ă©clairer et poser un tel abord du-pĂšre, c'est le Popeye d'Altman. LĂ sont montrĂ©s les effets, comiques certes, de stupiditĂ©, de stupĂ©faction, de stupeur que provoque le signifiant sur le sujet, si l'imaginaire ne vient pas tamponner, contenir les effets du rĂ©el en prise directe sur le symbolique. Le signifiant pĂšre, comme Nom-du-PĂšre, indique que la place de ce lieu de ce nom est toujours vide. Vide comme l'Autre, comme le ciel lâest de Popeye the sailor, dans sa stupeur, face Ă la rĂ©alitĂ© du Un sĂ©parateur articulant les signifiants ME entre eux , lance-t-il â oukâtĂ©papopa ? - oĂč n'es-tu pas popa ?.Il trouvera alors son pĂšre Ă sa place dans le lieu, soit un type ficelĂ© attachĂ© au plafond d'une cale de bateau, comme tout le monde. A le penser nulle part, il le trouve enfin partout c'est-Ă -dire dans le symbolique, rĂ©duit Ă faire rite, idolation du symbole de l'absence, ici marquĂ© du fait de chercher pour ne pas le symbolique pour ne pas trouver le rĂ©el et entre il y a lâimaginaireâŠPĂšre dĂ©ficelĂ© et fils se retrouvent, mĂ©diation l'un de l'autre, et s'apprĂ©hendent miroirs en place de salauds moyens, de flibustiers genre lien social entre analystes, soit avec tout ce qu'il faut pour ne pas ĂȘtre trop dupes, moins stupĂ©faits par le rĂ©el inhĂ©rent Ă la lĂ surgit le trauma, par le dĂ©sir du pĂšre, le flagrant dĂ©lit de pĂšre montĂ© en scĂšne par lâhystĂ©rique qui par ses symptĂŽmes crĂ©e son discours dont comme sujet elle ou il est lâagent .A cette stupĂ©faction du trauma fait Ă©cho la pudeur, et rĂ©vĂšle lâaspect pudique propre Ă la structure du signifiant, soit de se poser manquant. Pudeur entre signifiant et corps. Cette pudeur est en fait du registre de la structure, la marque de lâimpossible d'un rapport sexuel. Genre pĂšre et fĂ©minin de part et dâautre de la feuille de papier du schĂ©ma que citer un film et un film sur la filiation pose la question de l'auteur d'une crĂ©ation qui ne peut faire dĂ©sirer sinon Ă son insu, car aucune mesure, aucun calcul ne sauraient imiter l'impossible dans une Ă©quivalence sans confusion entre le Un sĂ©parateur, disjonctif, et la conjonction, propre au discours de lâhystĂ©rique qui en advient et qui jouit de sa place de passeur de la jouissance du si la fonction du-pĂšre est d'emblĂ©e Ă©quivalente au pur symbolique de la structure pudique du signifiant, sorte de sans faute du pĂšre une fois fait dieu, se posent les questions de l' que le rĂ©el du pĂšre symbolique tenant ensemble, ni dispersĂ©s ni confondus, phallus, mĂšre, enfant, fait que la marque, le manque phallique est garanti, savoir que la psychanalyse ne nous abandonnera pas, mais avec le risque de rester dans le rite du signifiant pur, l'idolation de ce manque de prise en compte de lâ cela se modĂšre par la fonction de l'imaginaire de la figure du pĂšre comme processus dynamique, comme index du rĂ©el qui tient seul du fait de la pratique de la psychanalyse, et invite Ă une sortie du pur tout christ-christ all- de la religion oĂč tout est alors pointer maintenant cette nĂ©cessitĂ© de l'articulation entre imaginaire et structure ?Un exemple nous Ă©claire. Le document est le suivant . â pourquoi sommes-nous sur la Terre ? - est une question mise en travail par un thĂ©ologien au colloque â Confrontations â de 1982. - Si nous sommes sur la Terre, alors c'est que papa et maman ont eu des rapports sexuels, ont fait l'amour ensemble â, etc., Ă©tait alors joliment avancĂ© comme y a lĂ un appel au bon sens, Ă l'imaginaire, et qui se montre toujours Ă se dresser vers le haut, vers le religieux. Or cela plafonne vite, sous la forme par exemple d'un cadeau vraiment obtenu du ciel. Or le ciel est cela, la clinique le montre, enclenche la part phobique de lâhumain, prĂ©sente dans toute nĂ©vrose, puisque la phobie c est le risque que le ciel ne soit plus vide. Les croyants prient que le trou reste trou et la meilleure façon c est de nâen rien Ă faire jouer dans cette phrase l'implication logique et la nĂ©gation, nous aboutirions rapidement Ă la transparence de la formule, du genre si nous ne sommes pas sur la terre, c'est qu'alors papa et maman nâont pas fait lâamour et lĂ surgit le vertige de comment le savoir puisque je ne suis pas sur la Terre. VoilĂ la question de lâ documents indiquent la question du pĂšre. Ainsi le CongrĂšs de MontrĂ©al des langues romanes Revue française de psychanalyse, n' 5, 1982 avance que la question du pĂšre, dans son actualitĂ©, est fondamentalement liĂ©e Ă l'Ă©thique de la psychanalyse soit que les Ă©lĂ©ments en cours dans une cure sont le fait quâils ont trait aux propres dĂ©faillances inhĂ©rentes Ă la structure qui les la question des ProcrĂ©ations MĂ©dicales AssistĂ©es le rapport au pĂšre gĂ©niteur et au Nom du PĂšre, qui renvoie au thĂšme â de l'Ă©tranger â, Ă savoir de poser la diffĂ©rence entre nouveau venu et encore les assertions sur l'aplatissement de l'imaginaire du pĂšre dans le discours politique ne sommes-nous pas face au triomphe de l'image tĂ©lĂ©visĂ©e qui gadgĂ©tise tout, oĂč le pĂšre nâest investi que comme objet rĂ©el, dans notre rĂ©alitĂ©, alors qu'il s'agit simplement de l'idolation de la technique, soit du gadget... et donc du pĂšre mis en tension avec ce pur cristal structure que nous sommes amenĂ©s Ă poser pour dĂ©-chosifier le du-pĂšre pris dans lâidĂ©al comment en effet poser la question du pĂšre cotĂ© psychanalyse aujourd'hui ?Cela permet-il de prĂ©ciser les conditions symboliques, de discours, de l'expĂ©rience psychanalytique ?Le dossier du-pĂšre vĂ©rifie-t-il que les conditions de la pratique sont les registres RĂ©el, Imaginaire, Symbolique, et cotĂ© Freud sont-elles lâĆdipe, le transfert, la castration ? qui sont nos appuis lâEnseignement de Jacques Lacan et lâOeuvre de Freud?Mais si le du-pĂšre vient poser aux analystes la question de ce qu'ils font dans la pratique, cette question peut ĂȘtre retournĂ©e. En effet, la pratique vĂ©rifie-t-elle â du-pĂšre â ? Le â du-pĂšre - cadrĂ©, Ă©clairĂ© par la psychanalyse mieux ou plus qu'ailleurs ? Les conditions de l'expĂ©rience psychanalytique sont elles causes ou consĂ©quences de la question du-pĂšre ?Un exemple nous fait s'agit d'un rire d'enfants assistant au film de Spielberg, l'extra-terrestre, survenu quand la plupart des enfants de la salle de spectacle constatent qu'Eliott le hĂ©ros du film, c'est dĂ©jĂ littĂ©ralement s'identifie et sauve un certain extra-terrestre en trĂšs grand rire, qui prĂ©domine donc chez les enfants bien plus que chez les adultes prĂ©sents dans la salle de spectacle, survient quand cette prĂ©sence est rĂ©vĂ©lĂ©e comme semblable en place de semblant. en place de semblant autorise, de ce signe fait avec un doigt bizarrement pĂ©nien traversant tout lâĂ©cran , la relation de prochain Ă prochain fondĂ©e sur l'Ă©galitĂ© face Ă la parole comme porteuse de et sont en Ă©galitĂ© face au semblant qui les tient vivants dĂ©sirants .Place est faite Ă la parole dans l'Ă©change de ceux qui se reconnaissent semblables et qui sont pourtant trĂšs dissemblables quant Ă l'image rĂ©elle. Le rire signe ce pacte avec cette face monstre de l'animal-pĂšre accĂ©dant Ă la parole, au symbolique, Ă lâapprivoisement du pĂšre est comme le criquet pĂšlerin dĂ©crit par Lacan Ă propos du stade du miroir venu de sa maison, il doit y retourner. Eliott et sont pareils, de mĂȘme grĂ©garitĂ©. Comme Popeye pĂšre et fils. Du miroir les tient les lettres E et T sont les initiales de EliottâŠ.Mais ce câest aussi le radicalement Ă©tranger. Venu dâune autre planĂšte que la Terre oĂč nous sommes parce que papa et maman ont fait boum boumâŠSurgit alors l'envers de la question â d'oĂč viennent les enfants ? â, sous la forme deâ oĂč va un pĂšre ? â A la mort, dit Freud. Est ce lĂ ce qui lui a fait faire son analyse , et nous depuis et devenir fin du rĂ©cit se marque du dĂ©part oĂč est dit Ă Eliott â je suis toujours avec toi â, soit de lâaltĂ©ritĂ© et de lâĂ©tranger sont en toi. Nemen mensh le plus loin et le plus roche, le plus secourable et le plus source dâeffroi. Question pĂšre c est que le pĂšre se sait pĂšre mais depuis qui ? dâoĂč mon titre sous forme dâune redondance de auparavant dans le film, il est nĂ©cessairement mort. Il y a lĂ le du-pĂšre qui vient Ă s'enfouir dans la mort comme question, comme pur est bien marquĂ©, fĂ©eriquement, puisque Eliott. redonne vie Ă vie au sens du dĂ©sir, puisque le signe de la rĂ©surrection est qu'une fleur fanĂ©e que est mort, qu'il est en place de pĂšre, et qu'il le sait, pour une fois, contrairement Ă ce que Freud nous apprend dans son rĂȘve fameux qu'un â pĂšre Ă©tait mort et qu'il ne le savait pas... â quâil Ă©tait pĂšre et/ou quâil Ă©tait mortâŠ.Lâhomme aux Rats, lui, rĂ©sout cela par ses sentences et contraintes pour effacer les traces des traces de ses inhibitions, symptĂŽmes et angoisses, pour attendre, comme Hamlet, que le spectre du pĂšre archi-mort lui dise sa jouissance, dâoĂč pour notre obsessionnel hyper douĂ© de se masturber comme de cette issue⊠à sa pulsion sexuelleEt ET » lettres en français de la conjonction, c'est alors lĂ le dĂ©part vers son - home - et la dĂ©claration d'amour du fils au pĂšre, pĂšre enfoui dans l'inconscient du sujet, oubliĂ© sous la forme d'un dieu stellaire, cosmique. OubliĂ© =DĂ©clin du complexe dâĆdipe au sens de Freud.Ainsi, sorte d'animal Ă abattre au dĂ©part, trace d'altĂ©ritĂ© ensuite, vient Ă ĂȘtre imaginarisĂ© sous la forme de cette figure de pĂšre avec laquelle un pacte s'est conclu le rire d'enfants assistant au spectacle en tĂ©moigne. Figure Ă forme de grenouille, de cochon, c'est aussi un symbole trĂšs singulier, une automobile avec un Ă©norme feu clignotant Ă la place du cĆur, Ă allure le moi et l'inconscient, câest lĂ oĂč le fils se situe comme mĂ©diation de la parole, Eliott et Popeye payent ainsi leur dette en renvoyant cette parole au pĂšre, qui Ă©videmment s'en empare comme tout le effet, au plan dit imaginaire, le pĂšre, dans la rĂ©alitĂ© d'Eliott, a quittĂ© sa famille, il est absent, parti au Mexique avec Sally, sa belle. Cette absence rĂ©alisĂ©e du pĂšre, est exigĂ©e pour la marche du rĂ©cit, du scĂ©nario. Câest lĂ sa jouissance, e câest la cause du rĂ©cit qui en est fait et implique quâEliott s'invente en place de pĂšre de touche Ă lâexil certes rĂ©el de ET mais surtout Ă lâexil interne dâEliott, celui inhĂ©rent Ă la structure de bĂ©ance , au trou irrencontrable mais non sans effet. On est exilĂ© de sa structure, de ce pur cristal structure et dont ses avatarsâŠ.seuls sont perceptibles. Notamment par le corps de du-pĂšre Ă lâ allure de ce qui commence un fĆtusâŠ.CORPSSur le plan du rĂ©el, c'est par ce moyen-lĂ , rĂȘve, fantasme, que le rĂ©el du corps du pĂšre est interrogĂ©, et il est interrogĂ© par le sadisme des savants mĂ©decins qui prennent comme proie de leur dĂ©sir de savoir et rĂ©vĂšlent que cet Ă©tranger est en exclusion comme Autre radical, diffĂ©rent mĂȘme de l'Ă©trangetĂ© et qu'ils doivent le faire rentrer dans leur ordre symbolique. Ainsi un flic ne va-t-il pas dire que cela fait une Ă©ternitĂ©, dix ans, qu'il attend lui aussi Par la mĂȘme, ĂŽ combien, surgit le souhait de la rencontre avec l'Autre quand il s'agit de la question du pĂšre...5Avec ce document-lĂ , maintenant peut ĂȘtre abordĂ© le rapport entre pratique de la psychanalyse et le pĂšre comme cela on lâa vu câest le rapport du pĂšre a la mort, savoir l'enfouissement de la question du-pĂšre dans celle de la mort. Cette fonction du pĂšre 1ER absentiifeâ la mort dans lâinconscient .Câest le renversement de la question d'oĂč viennent les enfants â en oĂč va un PĂšre », Ă la mort ». Et qui pose la question suivante comment commencent la nĂ©vrose, l'inconscient, la parole ? oĂč le mot â comme disait Aragon, est le plus beau mot de la langue française, car il Ă©voque prĂ©cisĂ©ment l'existence mĂȘme de la antĂ©cĂ©dence premiĂšre, de pure logique, du comment ça commence, est propre Ă la fonction de substitution de la mĂ©taphore paternelle dans I'Ćdipe au sens exemple de ce qu'on appelle - fĂȘte des pĂšres - nous Ă©claire en effet un enfant Ă©crit Ă son pĂšre, Ă l'occasion de cette fĂȘte, que le seul cadeau qu'il puisse lui faire est de lui Ă©crire qu'il existe une fĂȘte des pĂšres, soit qu'il y ait de l'existence!Cette existence s'Ă©crit par exemple il Ă©tait une fois » qui se rĂ©pĂšte et oĂč se pose, d'une part, la premiĂšre symbolisation de la mĂšre articulant sa prĂ©sence et son corps et donc celui de l'enfant; et d'autre part, l'absence du pĂšre en ce pĂšre primordial, propre Ă sa mort articulĂ©e prĂ©cisĂ©ment Ă lâidĂ©alitĂ©, ce pour quoi il n'existe plus aucun au delĂ c'est le dieu des philosophes, qui se situerait toujours au ciel, et pour Freud il est ramenĂ© sur la Terre, et il s'appelle le pĂšre primordial. Fonction radicalement autre, d'ĂȘtre lien disjonctif, particulier Ă ce Un sĂ©parateur, signifiant de l'articulation signifiante comme identification participe Ă la transmission d'Eros comme instinct, part d'immortalitĂ© de la libido, part du rapport entre vivant et , la libido est immortelle, puisque elle se transmet Ă travers les gĂ©nĂ©rations, mais si la mĂ©diation de la parole de fils Ă fils, de sujet Ă sujet, câest inscrire l'articulation signifiante comme possible, cela ne peut l'ĂȘtre que grĂące Ă ce que Freud intitule â repas totĂ©mique â, un maximum de libido sây dĂ©ploie sous la forme de la dĂ©voration du pĂšre primordial dit pĂšre de la Il me semble que la pulsion orale n'est lĂ intĂ©ressĂ©e pour Freud que comme opĂ©rateur permettant la mise en place d'une mĂ©taphore, celle prĂ©cisĂ©ment de l'antĂ©cĂ©dence la plus antĂ©cĂ©dente qui soit. Ce serait lĂ lâhabillage qui convient au stade psychique le plus archaĂŻque lâoralâŠCar cette identification primordiale au pĂšre, nommĂ©e Einverleibung/incorporation par Freud est celle du d'ĂȘtre Ă ĂȘtre . Elle est telle que nulle clinique ne peut la rendre perceptible, qu'elle n'est pas pulsionnelle. Elle Ă©voque le corps en morceau distribuĂ© sous la forme d'un lien d'amour au pĂšre, mais qui prĂ©cisĂ©ment occupe la place d'un signifiant, celui du lien premier au signifiant de l'articulation, signifiant qui ne produit aucun sujet, car nulle subjectivitĂ© ne peut en tĂ©moigner, de cette ouvre la nĂ©cessitĂ© de la topologie puisqu'elle procĂšde de la supposition comme telle d'un sujet d'avant toute question du sujet, comme autre lieu avec sa logique topo-logie, qui ouvre la question de l'ĂȘtre du sujet en tant que manque premier dans la parole, manque premier en rapport avec cette absence radicale du-pĂšre, au dĂ©part. Absence signifie sa mort par le meurtre symbolique comme lâindiquent les termes dâacting out et dâhĂ©ritage archaĂŻque. N'est-ce pas cela qui a pu faire parler de pessimisme ou d'athĂ©isme chez Freud?Le monothĂ©isme de son â Moise » , ne signifie-t-il pas l'inexistence de Dieu, d'oĂč la nĂ©cessitĂ© de son Ă©criture sous la forme de ce Un sĂ©parateur, qui indique que s'il y en avait vraiment Un, alors chacun en aurait un et nous serions tous polythĂ©istes...La topologie permettrait-elle alors de faire procĂ©der la psychanalyse plus du cĂŽtĂ© de la science dont elle serait dans le cortĂšge, plutĂŽt que dans l'ordre du mythe ou de la religion?AdossĂ©e Ă la religion elle marche avec la ainsi ne se dĂ©finirait-il pas comme la lieu dâune trace absente dont la marque absentifie la mort dans lâinconscient, la mort du pĂšre, et ce manque premier fonde cette trace mĂȘme .Absentiifie la mort dans lâ savoir qu'Ă partir de cette identification toute primordiale et des deux autres trait unaire dans la dialectique phallique de l'avoir ou de l'ĂȘtre, et identification hystĂ©rique de dĂ©sir Ă dĂ©sir s'agence la fonction phallique qui est l'assumation par le sujet iPrĂ©cisons cette1ere identification , c est la bĂ©ance du pĂšre primordial, trouthĂ©isme, qui lance la supposition de l'antĂ©cĂ©dence de cette toute premiĂšre identification au pĂšre incorporĂ©, frappĂ©e de son Ă©chancrure primordiale. Et qui va alors persister dans tout signifiant quel qu'il soit, une fois l'organisation du moi achevĂ©e. C'est cela que Jacques Lacan, selon moi, appelle sinthome par rapport au symptĂŽme, du fait de l'acte de nomination du symptĂŽme qui de morbide chez le nĂ©vrosĂ© devient indice de la proximitĂ© la plus proche du pur cristal cette antĂ©cĂ©dence, sâinstaure le signifiant comme Ă©lĂ©ment constitutif du discours, du fantasme du sujet. Câest un acte de nomination de la structure pour un sujet singulier, voilĂ la fonction du signifiant du nom du Ă dire que par cette antĂ©cĂ©dence, il y aurait Ă©quivalence entre les sexes face Ă ce point de bĂ©ance 1ere, point qui se transporte au niveau des autres identifications. Pour les quidam bonhommes et bonne femmes, le sinthome de l'homme va-t-il ĂȘtre â la femme â sans symĂ©trie du cotĂ© cotĂ© femme ce sinthome a des dĂ©mĂȘlĂ©s avec ce qui fait plutĂŽt â ratage â.Mon hypothĂšse est alors la suivante il y aurait une identification quatriĂšme formĂ©e de l'ensemble du nouage des trois identifications de Freud. Osons l'appeler identification Ă la structure articulĂ©e Ă ce manque premier oĂč le pĂšre primordial serait en opposition non symĂ©trique mais polaire au symptĂŽme. SymptĂŽme qui pour l'analyste devient sinthome et s'Ă©quivaut Ă ce qui sâinstaure comme fin dâune analyse et ouvre alors Ă la pratique de la est de savoir que la pratique de l'analyse implique pour l'analyste, qu'il le veuille ou non, de se retrouver en position de complĂ©mentation non homogĂšne au symptĂŽme du nĂ©vrosĂ©. Savoir y faire avec son sinthome en fin de cure câest savoir distinguer sinthome et structure, soit faire repĂ©rage du sinthome pour lâ reprends par cette identification premiĂšre au pĂšre idĂ©al mort qui initie les autres identifications, et les traverse, surgit le fait que tout signifiant vĂ©hiculera cette initiation premiĂšre Ă ne pouvoir se signifier lui-mĂȘme, frappĂ© qu'il est de cette Ă©chancrure inaugurale. Ainsi le sujet va-t-il rĂ©pondre Ă ce qui le marque par ce dont le signifiant si la pratique de la psychanalyse s'Ă©quivaut Ă la pratique du sujet comme sujet de l'inconscient, il faut de l'analyste en fonction pour en repĂ©rer les effets. Mais cette perte initiale comme cause de l'inconscient n'est pas l'objet petit a, mais de l'ordre de l'apulsionnel, soit comme l'incorporation la fonction sinthome du pĂšre est apulsionnelle du fait du ratage dans la rĂ©pĂ©tition de la rencontre avec le rĂ©el. Ainsi comprenons-nous, une citation de Lacan â le pĂšre en tant que pĂšre, c'est-a-dire nul ĂȘtre conscient SĂ©minaire Les fondements de la psychanalyse, p. 58. Ni inconscient donc⊠ouktepapopaVoilĂ comment il me semble pouvoir articuler la fonction du pĂšre Ă la pratique de la psychanalyse, pratique Ă repĂ©rer dans une dynamique, Ă rĂ©inventer sans cesse car liĂ©e Ă la fonction de l'imaginaire comme j'ai essayĂ© de le montrer avec la figure exenplifiĂ©e du pĂšre dans E. figure du pĂšre prĂ©cisĂ©ment comme facette du fantasme montre le non-rĂ©prĂ©setitable de la structure en cause dans la pratique et pourtant nĂ©cessite sa supposition, qui est celle du rĂ©el, rĂ©el qui par la pratique se trouve a des consĂ©quences au niveau de la pratique, soit de l'interprĂ©tation L'interprĂ©tation en effet s'articule Ă ce point de rencontre entre symptĂŽme et pĂšre/sinthome, dĂ©finis plus elle implique de la part de l'analyste un silence, celui de ses pulsions, identique Ă celui de l'incorporation du pĂšre, et qui produit une dĂ©sintrication des diffĂ©rents temps des circuits que l'analyste ne peut en aucune maniĂšre accorder de privilĂšge Ă tel ou tel circuit pulsionnel plutĂŽt qu'Ă un autre, ou Ă tel ou tel objet petit a plutĂŽt qu'Ă un autre, sinon au risque de grever la cure d'une maniĂšre est en effet en place de semblant d'objet petit a et non objet petit a proprement LâHomme aux loups », avec l'incident du brillant sur le nez, vision hallucinĂ©e dâune scĂšne originaire insrite au milieu de sa figureâŠ. Vue dans le miroir comme celle de son pĂšre genre PopeyeCela renvoie Ă lâacte de Freud vis Ă vis de lâHomme aux Loups de porter l'interprĂ©tation sur la fin de la cure par une date anticipĂ©e Ă la fin du processus lui-mĂȘme, sorte de scĂšne primitive placĂ©e dans le futur, en place de rĂ©-Ă©dition d'une scĂšne primitive supposĂ©e dans le 1923, l'Ă©pisode de la verrue sur le nez chez l'Homme aux loups cf. sa mĂšre revenant de Russie avec une tache sur son visage, le visage de Freud lui-mĂȘme malade Ă cette date va se marquer par une insurrection de l'objet petit a montrant que Freud n'avait pu dĂ©signer le regard comme objet petit a malgrĂ© ses travaux, aussi bien sur la scĂšne primitive que sur les pulsions exhibitionnistes voyeuristes de sa MĂ©tapsychologie, en le fait que l'articulation pĂšre-sinthome n'a pas pu ĂȘtre inscrite car subissant la forclusion vient spĂ©cifier que Freud a privilĂ©giĂ©, malgrĂ© lui, un circuit pulsionnel, le regard, un objet, l'objet petit a comme regard, sans le lĂ la confirmation que l'interprĂ©tation ne peut s'appuyer que sur cette articulation pĂšre-sinthome comme j'ai essayĂ© de la dĂ©finir. Or c'est cela qui n'a pu avoir lieu dans le cas de l'Homme aux savoir que la pratique s'Ă©quivaut Ă l'inscription des conditions symboliques de la pratique qui sont inhĂ©rentes Ă la position de la part du psychanalyste comme fonction d'ĂȘtre le lieu d'un silence des pulsions, silence Ă©quivalent Ă celui de la structure pur cristal idĂ©al. La position est proprement liĂ©e Ă la dĂ©sintrication des diffĂ©rents objets petit a ce que nous pourrions appeler incorporation de la fonction analyste l'interprĂ©tation vient-elle Ă se distinguer de la symbolisation, de la nomination, distinction ici Ă peine Ă©bauchĂ©e, et qui nĂ©cessite la passe soit , en particulier, une articulation de son analyse personnelle Ă l'expĂ©rience de la pratique de la psychanalyse par l'analyste, soit celui qui en a l'exercice. La nomination analyste, par exemple, dĂ©passe sa fonction de dĂ©signation dâĂȘtre un opĂ©rateur, mais rĂ©vĂšle que cet opĂ©rateur » est en place de signifiant produit par la pratique elle-mĂȘme, câest un forçage symbolique, Ă©rigeant tel concept, tel mot, tel mouvement, etc... au rang de signifiant, soit ayant pour effet de placer sans cesse l'analyste face Ă sa position de sujet de sa division, câest la question persistante de la re-nomination de l'analyste du fait de sa pratique oĂč se dĂ©ploie sa fonction de â ne s'autoriser que de lui-mĂȘme ».VoilĂ pĂšre et pratique liĂ©s ? de lâun vers lâautre et vice versa ?Jean-Jacques Moscovitz[1] ExposĂ© Ă Espace le mars 2014 , en coĂŻncidence avec la journĂ©e mondiale de la femme, [2] ce tete fait suite au travail sur lâEpopĂ©edu refeoulement originaire, Cf blog psychanalyse actuelle
Le PĂšre dans la Psychanalyse le pĂšre comme "imago" Association de la Cause Freudienne MĂ©diterranĂ©e - Alpes - Provence Bureau de ville de Toulon Le mardi 25 septembre Ă 20h30 HĂŽpital Chalucet, Salle Romarins Le PĂšre dans la psychanalyse de Freud Ă Lacan Au cours de lâannĂ©e, nous nous proposons de suivre lâĂ©volution de la thĂšse de J. Lacan sur le PĂšre, Ă travers ses grandes Ă©tapes Le pĂšre comme imagoâ» 1938, Le pĂšre comme signifiantâ » 1956, Le pĂšre comme objetâ » 1960, Le pĂšre comme rĂ©gulateur de jouissanceâ » 1970 et Le pĂšre comme symptĂŽmeâ » 1975. Comme lâan dernier, une rencontre bimestrielle, ouverte Ă tous les cartellisants sera consacrĂ©e Ă ces lectures. Par ailleurs, un temps sera rĂ©servĂ© Ă des invitĂ©s extĂ©rieurs, travaillant aussi la mĂȘme question. PremiĂšre sĂ©ance Le PĂšre comme imagoâ Deux interventions sont proposĂ©es Marie-Paule CANDILLIER Le complexe dâintrusion » in Le stade du miroir comme formateur de la fonction du je » Lacan, 1936 Marie-Claude PEZRON L'imago paternelle et la sublimation » in Les complexes familiaux », Lacan, 1938. Ces rencontres sont ouvertes Ă tous ceux qui souhaitent aborder la lecture de Freud et Lacan.
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