🌟 Qu Est Ce Qui Reflechi Sans Reflechir
Linconscient est volonté qui dirige notre être sans que la conscience puisse le savoir et agir. Mais comment une volonté, qui est un acte réfléchi peut-elle être inconsciente ? Qu'est-ce que le monde en dehors de nos représentations ? Schopenhauer répond que notre corps répond à deux affects : plaisir et douleur.
Laseule exception est haïr. Synonyme du verbe réfléchir cogiter - penser - gamberger - combiner - manigancer - mijoter - préparer - méditer - songer - rêver - spéculer - échafauder - approfondir - évoquer - prévoir - refléter - reproduire - répercuter - renvoyer - répéter - transmettre
Définitiondu verbe réfléchir 1) Penser longuement à quelque chose 2) Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont été reçus (ex : le miroir réfléchit la
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Cest le sens du mot compassion." Car il est douloureux, ce geste, pour le médecin. Compliqué. "On ne dit pas oui, sans réfléchir, à une demande d'euthanasie. C’est un cheminement, plein de doutes, dans le dialogue avec le patient, mais aussi avec ses proches."
Cequi veut dire que l'argent est vraiment central dans la question qu'on doit se poser.» 400 francs Comme pour les 250 dollars de Dirty Dancing , L'Événement nous donne un prix précis: 400
RÉFLÉCHIRsignifie, au figuré, Penser longuement, mûrement à quelque chose; en ce sens il est toujours intransitif. Je vous prie de réfléchir sur cette affaire. C'est un homme qui ne réfléchit jamais. Il agit sans réfléchir. Il faut y réfléchir. J'ai réfléchi à ce que vous m'avez dit, sur ce que vous m'avez dit. Avant de vous
50Laction finalisée de Simmel n’est autre que l’action réfléchie de Fichte : il s’agit dans les deux cas de représenter les déterminations réciproques entre le Moi et le Non-Moi et, dans le même temps, de réfléchir son acte de représenter pour savoir ce qui est effectué.La courbe téléologique dont nous parle Simmel n’est qu’une reformulation de la thèse fichtéenne d
Oui les lasers de puissance sont réfléchis par des miroirs lorsqu'ils sont défocalisés. Parce que contrairement à ce qu'on voit dans les films, les lasers de puissance sont produits avec des diamètres de plusieurs centimètres, sinon ils feraient déjà péter la fenêtre par laquelle ils sortent de leur cavité (pour les lasers à gaz genre CO2).
Engrammaire, un verbe réfléchi est, en gros, un verbe dont l'objet direct est le même que son sujet; pour Exemple, "Je me lave".Plus généralement, un verbe réfléchi a le même agent sémantique et patient (typiquement représenté syntaxiquement par le sujet et l'objet direct).. Dès lors, comment identifie-t-on un verbe réfléchi ? Si le sujet dans une phrase exécute une action
Quest ce qui réfléchit sans réfléchir ? Réponse. Devinette dans l'espace. Qu'est-ce qu'une éclipse ? Réponse. Une devinette pour les maçons. Qu'est ce que du ciment dans un pot ? Réponse. Toujours plus vite . Quel est le mode de transport préféré des vampires ? Réponse
Leschoses ne sont pas aussi simples. Quand on réfléchit trop, on se rend compte de tout l’éventail des possibilités qui s’offrent à nous: notre capacité est peut-être un
Quest ce que je fais et qui porte des fruits et pourquoi ? De quoi ai je besoin matériellement pour me sentir libre ? heureux ? Je vous propose cette pause méditative sur notre quotidien, réfléchir au long de la journée, ou bien en se posant, un moment tranquille pour prendre quelques notes, seul ou avec ceux qui partagent nos journées 5 , 10 , 15 , 20
verbetransitif indirect (de réfléchir) . Concentrer son attention sur une idée, une question : Réfléchissez bien à ma proposition. Penser longuement, en examinant, en pesant : Parler sans réfléchir. Prendre conscience (du fait) que, s'en rendre compte : As-tu réfléchi que tu n'étais pas libre demain ? Pas facile de comprendre ça quand on est petit
Quest ce qui réfléchit sans réfléchir ? Je donne la réponse plus tard. Bisous
r66L. Par Shu Qin, Chine En février de l’année dernière, j’ai été transféré dans une Église en tant que dirigeant. Certaines tâches n’y étaient pas faites de façon très efficace, et je me suis dit Les dirigeants qui ont arrangé ma venue ici doivent beaucoup m’estimer, et penser que je suis capable de reprendre en main le travail de cette Église. Il faut que je m’en sorte bien, que je montre à ces dirigeants que je peux faire un travail pratique et qu’ils ont eu raison de me choisir. » Ensuite, j’ai été voir chaque groupe de l’Église, pour savoir où en était leur travail, et résoudre les difficultés et problèmes des frères et sœurs dans leurs devoirs. Certains frères et sœurs étant dans un mauvais état, je les ai aidés et soutenus avec amour. Quand je trouvais que des gens ne convenaient pas à un poste, je discutais avec ma partenaire et je les transférais ou je les remplaçais, conformément aux principes. Au bout d’un moment, le travail de l’Église s’est quelque peu amélioré. J’étais très content, mais je n’ai pas pu m’empêcher de penser Je crois que je peux faire davantage de travail pratique. Il faut que je travaille dur pour obtenir de meilleurs résultats, ainsi, mes frères et sœurs verront mes capacités de travail et diront que je suis un bon dirigeant. » Un jour, alors que nous passions en revue certaines tâches, j’ai remarqué que l’efficacité du travail d’abreuvement avait beaucoup diminué, et que plusieurs nouveaux venus n’allaient pas aux réunions. J’ai pensé Les autres tâches sont faites plus efficacement, maintenant, mais l’efficacité du travail d’abreuvement a décliné. On ne peut pas laisser le travail d’abreuvement affecter les résultats d’ensemble, sinon, tout le monde va dire que je suis incompétent, ce qui nuirait à mon image. » Alors je suis vite allé voir le personnel d’abreuvement, j’ai appris que la dirigeante du groupe, Sœur Wu, ignorait les difficultés des nouveaux venus quand elle arrangeait leurs réunions et devoirs. Elle arrangeait des réunions quand certains nouveaux venus devaient travailler, ce qui les empêchait d’y assister, du coup, ils avaient des difficultés, pensaient ne pas être à la hauteur, et devenaient négatifs. Apprendre ça m’a mis un peu en colère. J’ai pensé J’ai clairement dit à Sœur Wu que nous devions penser à la situation des nouveaux venus quand nous arrangeons réunions et devoirs pour eux. Pourquoi ne peut-elle pas maîtriser ce concept et se montrer plus souple ? Je crois qu’elle n’a pas le calibre nécessaire pour cet abreuvement. Les mauvais résultats que nous obtenons ont tous à voir avec elle. Je ne peux pas la laisser, à elle seule, affecter le travail de l’Église toute entière. Il faut la démettre immédiatement. Si je ne la démets pas, nos résultats ne vont jamais s’améliorer. Cela va entraver le travail de la maison de Dieu, et, en plus, mes supérieurs, et les frères et sœurs, vont penser que je suis incapable de travailler, ou de résoudre des problèmes réels. Je ne peux pas laisser les gens douter de ma compétence. » Donc, après la réunion, j’ai évoqué le renvoi de Sœur Wu avec ma partenaire et les diacres. La diaconesse d’abreuvement a dit Autrefois, Sœur Wu abreuvait efficacement les nouveaux venus. Elle est peut-être en mauvais état, en ce moment, elle a peut-être formé les nouveaux venus un peu trop rapidement, voilà tout. Nous devrions étudier sa situation, puis échanger avec elle et l’aider. Si elle ne change pas, au bout d’un certain temps, nous la démettrons. » Mais à ce moment-là , j’ai uniquement pensé que ma réputation et mon statut risquaient d’en pâtir. Je me disais Sœur Wu ne vient pas de commencer à abreuver les nouveaux venus. Et je lui ai déjà parlé de ce problème. Je crois qu’elle refuse d’accepter les rappels et l’aide. Si nous ne la renvoyons pas à temps, et que nous prenons du retard, ou si le travail s’en trouve affecté, je vais forcément être tenu pour responsable, donc, peu importe le moyen, cette fois, je dois arriver à convaincre les diacres de démettre Sœur Wu. » Alors j’ai dit sur un ton furibond Sœur Wu est inefficace dans son devoir, ce qui prouve qu’elle est incompétente et qu’elle ne convient pas à ce poste. Si vous la gardez, et que les résultats de notre travail ne s’améliorent pas, lequel d’entre vous en assumera la responsabilité ? Vous n’avez qu’à l’aider, mais sans moi ! » Voyant mon attitude, ma partenaire et les diacres n’ont rien osé dire. Plus tard, j’ai appris que Sœur Wu était devenue très négative après avoir été remplacée. Elle se disait qu’elle avait abreuvé des nouveaux venus pendant des années, avec de bons résultats. Mais là , elle formait des nouveaux venus qui débutaient dans leur foi, parce que l’Église manquait de personnel d’abreuvement, et elle devait combiner plusieurs lieux de rencontre. Du coup, il y avait des problèmes quand elle était trop prise pour s’occuper des difficultés de tous les nouveaux venus. Elle n’avait pas cru pouvoir être démise comme ça, donc elle se disait que nous l’avions renvoyée sans principes, en nous basant sur un comportement qu’elle avait eu temporairement, et non sur une évaluation équilibrée de son comportement habituel. Quand j’ai appris ça, non seulement je n’ai pas cherché la vérité, ni réfléchi sur moi-même, mais je me suis dit que Sœur Wu était de faible stature, qu’elle ne pouvait pas se connaître ni tirer de leçons de cette situation, et je n’ai pas pris ça au sérieux du tout. Après le renvoi de Sœur Wu, nous avons choisi Sœur Liu comme dirigeante de groupe. Ravi, je me suis dit Maintenant, le travail d’abreuvement devrait être plus efficace ! » Mais, au bout d’un moment, j’ai découvert que Sœur Liu avait une faible capacité de travail, et qu’elle n’était pas aussi responsable que Sœur Wu. Elle ne comprenait pas à temps l’état des nouveaux venus, et ne savait pas comment résoudre leurs problèmes. Par conséquent, le temps a passé, mais le travail d’abreuvement ne s’est pas amélioré. J’ai commencé à me sentir mal à l’aise et à me demander si renvoyer Sœur Wu avait été une erreur, mais, vu la situation, j’ai décidé d’échanger avec Sœur Liu et de l’aider davantage, pour voir si ses résultats allaient s’améliorer. Des nouveaux venus continuant d’arriver dans l’Église, la priorité a été de former rapidement davantage de personnel d’abreuvement. J’ai donc vite commencé à chercher des candidats. J’ai pensé à Sœur Chen, qui avait été démise et était encore isolée pour réfléchir sur elle-même. Elle avait prêché l’Évangile auparavant, et avait obtenu des résultats, donc j’ai voulu la former. Je pensais juste qu’elle était amicale, qu’elle communiquait facilement avec les gens, et que si nous la formions, cela résoudrait le problème du travail d’abreuvement. Mes supérieurs diraient forcément que j’étais de bon calibre, que j’étais un bon dirigeant. Alors j’ai demandé à la diaconesse d’abreuvement de s’attacher à cultiver Sœur Chen. Embarrassée, cette diaconesse a répondu Nous avions pensé à un arrangement de ce genre, mais nous avons vu que Sœur Chen n’avait toujours aucune connaissance d’elle-même après avoir été démise. Quand elle prêchait l’Évangile, elle luttait pour la gloire et le gain, et semait la jalousie et le conflit, ce qui empêchait totalement les autres d’accomplir leur devoir normalement. Si nous la formons à l’abreuvement maintenant, elle va continuer à se montrer malfaisante et à provoquer des perturbations. L’abreuvement est l’une des tâches les plus importantes dans la maison de Dieu. Ceux qui sont formés dans ce but doivent avoir une bonne humanité et ne pas perturber le travail de la maison de Dieu. Nous devons faire les choses conformément au principe ! » Les paroles de la diaconesse m’ont rendu nerveux. J’ai pensé Sœur Chen est amicale et elle a du calibre. La former à abreuver les nouveaux venus va forcément rendre le travail plus efficace rapidement. Si nous décidons de ne pas la former parce qu’elle semble ne pas s’être véritablement repentie, mes dirigeants ne pourront pas constater que j’ai une grande capacité de travail. Ça ne va pas du tout. Je dois convaincre la diaconesse de faire ce que je veux, je ne peux pas renoncer comme ça. » Alors j’ai traité cette diaconesse d’abreuvement, en disant Est-ce bien le moment de suivre les règles aveuglément ? Les principes disent aussi que ceux qui ont transgressé autrefois doivent avoir la possibilité de se repentir. Sœur Chen est amicale et a le calibre nécessaire pour abreuver les nouveaux venus, nous pouvons donc la former. Il faut juste la surveiller et ne pas la laisser provoquer des perturbations. Sœur Chen est de bon calibre et elle apprend vite. Disposer d’une sœur compétente pour l’abreuvement résoudra bien des problèmes. Allez la chercher et amenez-la à la réunion ! » Quand la diaconesse d’abreuvement a vu que je m’entêtais, elle n’a rien ajouté. Mais quelques jours plus tard, la diaconesse d’abreuvement a signalé que Sœur Chen n’investiguait pas les notions et la confusion des nouveaux venus avant de les abreuver, et qu’elle n’offrait pas d’échange ciblé. À la place, elle insistait pour échanger en se basant sur ses propres idées, ce qui avait amené deux nouveaux venus à s’opposer, à résister et à cesser de croire. À l’époque, ça m’a mis un peu mal à l’aise. Vu son calibre, Sœur Chen n’aurait pas dû faire une chose pareille. Plus tard, quand j’ai discuté avec elle, j’ai compris qu’elle n’était proactive dans ses devoirs qu’en apparence. Elle n’avait aucune compréhension de ses transgressions passées, et, alors qu’un problème grave était survenu dans son travail, elle n’avait pas réfléchi sur elle-même et n’en avait tiré aucune leçon. Elle était indifférente. Ce n’est qu’alors que j’ai pris conscience que je l’avais peut-être cultivée trop précocement, et qu’elle avait sans doute besoin de continuer à s’isoler pour réfléchir. Mais, réflexion faite, j’ai pensé que Sœur Chen était de bon calibre, qu’elle avait été dirigeante, et que si je l’aidais davantage, elle pourrait vite comprendre et se reprendre en main. Il fallait juste que je la forme et que j’améliore les résultats du travail d’abreuvement, ensuite mes dirigeants m’approuveraient. Et donc, alors que je m’attendais à obtenir de bons résultats, un matin, ma partenaire m’a dit Les frères et sœurs ont écrit pour dire que tu ne faisais pas ton devoir conformément aux principes. Tu as arrangé, par la force, que Sœur Chen, qui était isolée, fasse le travail d’abreuvement. Durant cette période, Sœur Chen a eu de nombreux problèmes en abreuvant les nouveaux venus, mais elle n’a pas réfléchi ni montré la moindre conscience d’elle-même. Si l’on regarde son comportement habituel, elle s’avère complètement inapte à être cultivée, et les frères et sœurs recommandent qu’elle continue à s’isoler et à réfléchir. » Quand j’ai entendu ce que ma partenaire disait, mon cœur a failli s’arrêter C’est fini. Je suis fichu ! Il ne s’agit pas de simples réactions, mais d’un rapport officiel, qui m’expose parce que je n’ai pas agi selon les principes. Ça fait des années que je crois en Dieu, et je n’ai jamais été signalé par quiconque. Que vont penser de moi mes frères et sœurs, maintenant ? » Je me suis alors senti très embarrassé. J’ai pris un verre d’eau et j’en ai bu quelques gorgées, pour essayer de me calmer, mais mon cœur était aussi agité qu’une mer démontée Si mes dirigeants découvrent le contenu de cette lettre, ils vont dire que je ne fais pas mon devoir conformément aux principes, et que je perturbe le travail de l’Église. Vont-ils me démettre, après ça ? » Mon esprit était en pleine effervescence. Finalement, je me suis avachi dans mon fauteuil comme une baudruche qui se dégonfle. Quand ma partenaire a vu mon état, elle a dit Être surveillés et exposés par nos frères et sœurs nous aide. Maintenant, tu dois recevoir de Dieu. » J’ai promis de recevoir de Dieu, mais, en fait, je ne parvenais pas à calmer mon esprit. Je n’ai pas pu manger ou dormir de la journée. Quand je pensais que les faits de mon comportement avaient été exposés dans cette lettre, cela me transperçait le cœur. Je suis tombé à genoux, et j’ai prié Dieu Dieu ! Je sais que Tu as de bonnes intentions en laissant tout ça m’arriver. S’il Te plaît, aide-moi à comprendre Ta volonté et à en tirer des leçons. » Plus tard, en réfléchissant et en cherchant, j’ai lu ces paroles de Dieu. Quoi qu’ils fassent, les antéchrists ont toujours leurs propres buts et intentions, ils agissent toujours selon leur propre plan, et leur attitude envers les arrangements et le travail de la maison de Dieu est la suivante “Tu as peut-être un millier de projets, mais moi j’ai une règle” tout cela est déterminé par la nature de l’antéchrist. Un antéchrist peut-il changer sa mentalité et agir selon les principes de la vérité ? Ce serait absolument impossible. […] Quel que soit le devoir qu’ils accomplissent, les antéchrists s’en tiennent toujours au même principe il faut qu’ils glanent un bénéfice. Le genre de travail que les antéchrists aiment le plus, c’est quand cela ne leur coûte rien, quand ils n’ont pas à souffrir ni à payer un prix, et qu’il y a un avantage pour leur réputation et leur statut. En somme, quoi qu’ils fassent, les antéchrists se préoccupent d’abord de leurs propres intérêts et n’agissent qu’une fois qu’ils ont réfléchi à tout. Ils n’obéissent pas vraiment, sincèrement et absolument à la vérité sans compromis, mais le font de manière sélective et conditionnelle. De quelle condition s’agit-il ? Leur statut et leur réputation doivent être sauvegardés et ne doivent subir aucune perte. Ce n’est qu’une fois cette condition satisfaite qu’ils décideront et choisiront quoi faire. C’est-à -dire que les antéchrists réfléchissent sérieusement à la manière de traiter les principes de la vérité, les commissions de Dieu et le travail de la maison de Dieu, et à la façon de gérer ce à quoi ils sont confrontés. Ils ne se soucient pas d’accomplir la volonté de Dieu, d’éviter de nuire aux intérêts de la maison de Dieu, de satisfaire Dieu ni d’être utiles aux frères et sœurs ce ne sont pas ces choses-là qui les préoccupent. Qu’est-ce qui préoccupe les antéchrists ? C’est de savoir si leur propre statut et leur réputation seront affectés, et si leur prestige sera amoindri. Si faire quelque chose selon les principes de la vérité doit être bénéfique au travail de l’Église et apporter des avantages aux frères et sœurs, mais en même temps porter un coup à leur propre réputation et faire que leur vraie stature, leur nature et leur essence soient révélées à beaucoup de gens, alors il est certain qu’ils n’agiront pas conformément aux principes de la vérité. Si faire un quelconque travail concret amène plus de gens à avoir une haute opinion d’eux, à les admirer et à les vénérer, et qu’ainsi leurs paroles seront chargées d’autorité et amèneront davantage de gens à se soumettre à eux, alors ils choisiront d’agir de cette manière ; sinon, ils n’accorderont absolument aucune considération aux intérêts de la maison de Dieu ni à ceux des frères et sœurs, et n’iront pas mettre de côté leurs propres intérêts. Telles sont la nature et l’essence des antéchrists » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle Partie III », dans Exposer les antéchrists. Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que tout ce que les antéchrists font, ils le font pour protéger leur réputation et leur statut. Quand leur réputation et leur statut ne sont pas en jeu, ils sont capables d’agir selon les principes de la vérité, mais si agir selon ces principes risque de menacer leur réputation et leur statut, les antéchrists violent ouvertement les principes et agissent arbitrairement, en suivant leurs propres idées. Pour protéger leurs intérêts, ils sont prêts à nuire à ceux de la maison de Dieu. J’ai réfléchi à ce que j’avais fait depuis que j’étais devenu dirigeant, et j’ai vu que j’avais été comme les antéchrists révélés par la parole de Dieu. J’avais voulu accomplir quelque chose rapidement, pour prouver que j’étais compétent et capable de faire un travail pratique, pour que mes supérieurs, et mes frères et sœurs, voient qu’en me nommant dirigeant, ils avaient fait le bon choix. Quand j’avais choisi et utilisé des gens, je n’avais donc pas du tout cherché les principes de la vérité, je n’avais pas essayé de favoriser le travail de la maison de Dieu, je n’avais pas écouté les conseils, et j’avais insisté pour prendre les décisions tout seul. Quand j’avais vu que Sœur Wu n’arrangeait pas les réunions et les devoirs des nouveaux venus en se basant sur leur situation réelle, j’avais ignoré son état et ses difficultés, je ne l’avais pas aidée à trouver la racine de ses problèmes, à entrer dans les principes, pour qu’elle évite de refaire les mêmes erreurs. J’avais pensé qu’elle n’obtenait pas de résultats, ce qui allait nuire à ma réputation, à mon statut, alors je l’avais cataloguée injustement et exclue, j’avais voulu la renvoyer. Pour protéger ma réputation et mon statut, j’avais ignoré les principes et les conseils de mes collaborateurs, et j’avais démis Sœur Wu de force. Pourtant, je n’avais eu ni amour ni patience à son égard. Je savais qu’elle avait du mal à accomplir son devoir, mais je n’avais pas échangé avec elle pour l’aider, je l’avais démise directement. J’étais comme un meurtrier sans pitié. J’étais vraiment inhumain ! Après avoir démis Sœur Wu, la nouvelle sœur que j’avais choisie avait été incapable de faire son travail, ce qui avait directement affecté l’abreuvement. Même alors, je n’avais pas su réfléchir sur moi-même, et j’avais continué à promouvoir quelqu’un qui avait perturbé le travail de l’Église, en prétextant que je cultivais le talent et que j’améliorais le travail d’abreuvement. J’avais même sorti les choses de leur contexte, et dit, contre toute logique, que nous devions lui laisser une chance de se repentir. J’avais traité la diaconesse d’abreuvement parce qu’elle suivait les règles aveuglément, au point qu’elle avait eu peur de me contredire. Résultat, Sœur Chen n’avait pas convenu du tout, et elle avait nui au travail d’abreuvement. J’ai vu que, pour protéger ma réputation et mon statut, j’étais prêt à prendre des raccourcis dans mon devoir, à ignorer les principes et les rappels. Même après avoir été signalé et exposé, je m’étais uniquement inquiété de la façon dont les dirigeants allaient me percevoir. Je n’avais pas réfléchi aux causes de mes échecs, j’avais protégé ma réputation et mon statut avec entêtement, et laissé les intérêts de la maison de Dieu en pâtir, pour sauvegarder mes propres intérêts. Ce que je manifestais, c’était le tempérament d’un antéchrist ! Plus tard, en cherchant, j’ai lu ceci dans la parole de Dieu Si quelqu’un dit qu’il aime la vérité et qu’il recherche la vérité mais qu’en substance, le but qu’il poursuit est de se distinguer, de se montrer, de faire en sorte que les gens aient une haute opinion de lui, de réaliser ses propres intérêts et que le but de l’accomplissement de son devoir n’est pas d’obéir à Dieu ni de Le satisfaire, mais plutôt d’obtenir un prestige et un statut, alors sa poursuite est illégitime. Ceci étant, par rapport au travail de l’Église, ses actions sont-elles un obstacle, ou est-ce qu’elles contribuent à le faire avancer ? Elles sont clairement un obstacle elles ne le font pas avancer. Tous ceux qui brandissent la bannière de l’accomplissement du travail de l’Église tout en poursuivant leur prestige et leur statut personnels, en faisant tourner leur entreprise, en créant leur propre petit groupe, leur propre petit royaume, sont-ils le genre de personne qui accomplit son devoir ? Essentiellement, tout le travail qu’ils font interrompt, perturbe et entrave le travail de l’Église. Quelle est la conséquence de leur poursuite du statut et du prestige ? Premièrement, cela affecte la façon dont les élus de Dieu mangent et boivent la parole de Dieu et comprennent la vérité, cela entrave leur entrée dans la vie, cela les empêche d’emprunter le droit chemin de la foi en Dieu et les conduit sur le mauvais chemin ce qui nuit aux élus et les mène à la ruine. Et quelle en est finalement l’incidence sur le travail de l’Église ? C’est un démantèlement, une interruption et une altération » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle Partie I », dans Exposer les antéchrists. Après avoir lu cette parole de Dieu, j’ai compris que lorsque l’on poursuit la réputation et le statut sous la bannière de l’accomplissement du devoir, l’essence de tout cela c’est que l’on agit comme des serviteurs de Satan et que l’on perturbe le travail de la maison de Dieu. La parole de Dieu a révélé l’essence de mes actes. Dieu m’avait exalté pour que je sois dirigeant parce qu’Il espérait que je tienne compte de Sa volonté, que j’abreuve bien mes frères et sœurs, que je résolve leurs difficultés, et leurs problèmes d’entrée dans la vie, que je promeuve et forme des gens appropriés afin qu’ils fassent les diverses tâches de l’Église et qu’ils s’assurent que le travail de l’Église se déroulait normalement. Mais je n’avais pas tenu compte de la volonté et des exigences de Dieu, et je n’avais pas assumé mes responsabilités en tant que dirigeant. Quand j’avais choisi et utilisé des gens, je n’avais tenu compte que de mes propres intérêts. Par conséquent, je n’avais pas soutenu les nouveaux arrivants, et, en plus, j’avais entravé le travail d’abreuvement, ce qui avait amené des nouveaux venus à se retirer. En quoi avais-je fait mon devoir ? J’avais perturbé le travail de la maison de Dieu, et fait le mal ! Je n’avais vraiment eu aucune conscience. J’étais trop égoïste et trop indifférent. J’ai pensé aux antéchrists et aux gens malfaisants qui avaient été expulsés de l’Église. Ils intriguaient sans cesse pour leur propre bénéfice, ignoraient les principes de la vérité pour préserver réputation et statut, ils faisaient leurs devoirs arbitrairement et de façon tyrannique, perturbaient gravement le travail de la maison de Dieu, et, du fait de leurs actes malfaisants, ils finissaient par être détestés et bannis par Dieu. Il n’y avait aucune différence, sur le fond, entre ce que je faisais et les actes des antéchrists ! Quand j’ai compris ça, j’en ai eu des sueurs froides, et j’ai prié Dieu Dieu, j’ai été négligent dans mon devoir. J’ai poursuivi la gloire, le statut et la réussite rapide, et j’ai pris le mauvais chemin. Dieu, je souhaite me repentir devant Toi. S’il Te plaît, guide-moi et aide-moi. » Plus tard, en réfléchissant et en cherchant, j’ai compris que pour être efficace dans notre devoir, nous devons avoir de bonnes intentions, nous concentrer sur la recherche de la vérité, et agir selon les principes. C’est seulement alors que nous pouvons recevoir la direction de Dieu, et améliorer continuellement nos résultats. J’ai songé à ces paroles de Dieu Lorsque les gens acceptent une commission de Dieu, ils doivent d’abord comprendre la volonté de Dieu pour pouvoir remplir leurs devoirs et accomplir leur mission. Il faut que tu saches que cette commission est venue de Dieu c’est Sa volonté et tu dois l’accepter, en être conscient et, plus important encore, t’y soumettre. De plus, tu dois chercher des réponses sur les vérités qu’il faut que tu comprennes, sur les principes que tu dois respecter et sur la manière dont tu dois pratiquer, afin d’apporter un avantage aux élus de Dieu et au travail de la maison de Dieu lorsque tu accomplis ce devoir. Ce sont là les principes selon lesquels tu dois pratiquer. Une fois que tu as compris la volonté de Dieu, tu ne dois pas perdre de temps à chercher et à essayer de comprendre les vérités pour accomplir ce genre de devoir, et une fois que tu as compris ces vérités, tu dois déterminer les principes et le chemin pour les mettre en pratique. À quoi les “principes” font-ils référence ? De façon spécifique, les principes font référence aux choses qui doivent être suivies pour atteindre les normes et les effets de la pratique de la vérité. Pour pratiquer la vérité, les gens doivent avoir saisi le principe le principe est la chose la plus cruciale et la plus fondamentale. Une fois que tu maîtrises les principes de base pour accomplir ton devoir, c’est la preuve que tu maîtrises les normes requises pour accomplir ce devoir, et maîtriser le principe équivaut à être capable de mettre la vérité en pratique. Alors, sur quelle base repose cette capacité à pratiquer la vérité ? Sur la compréhension de la volonté de Dieu et sur la compréhension de la vérité. Le simple fait d’être conscient de ce que Dieu demande revient-il à comprendre la vérité ? Ce n’est pas le cas alors, quelle norme est requise pour que cela revienne à comprendre la vérité ? Il faut que tu comprennes quelle sont la signification et la valeur de l’accomplissement de ton devoir comprendre ces deux choses, c’est comprendre la vérité de l’accomplissement de ton devoir. De plus, une fois que tu as compris la vérité, tu dois te familiariser avec les principes de l’accomplissement de ton devoir et avec le chemin de pratique. Si tu es capable de saisir et d’appliquer les principes pour accomplir ce devoir et que tu peux également faire preuve de sagesse en cas de besoin, alors tu es assuré d’être efficace dans l’accomplissement de ce devoir ; et quand tu saisiras le principe et feras les choses selon le principe, cela reviendra à pratiquer la vérité. S’il n’est pas entaché d’idées humaines, qu’il est exécuté dans l’obéissance absolue aux exigences de Dieu et conformément aux arrangements de travail de la maison de Dieu, et qu’il est en plein accord avec les paroles de Dieu, alors l’accomplissement de ton devoir est entièrement conforme aux normes, et même s’il peut y avoir une certaine différence entre ton efficacité et ce que Dieu exige, cela comptera toujours comme répondant aux exigences de Dieu. Si tu as accompli ton devoir en plein accord avec le principe et avec dévotion, que tu y as consacré tous tes efforts, alors tu l’as accompli de façon pleinement conforme à la volonté de Dieu et tu es parvenu à accomplir le devoir d’une créature de Dieu de tout ton cœur, de tout ton esprit et de toutes tes forces ce qui est l’effet obtenu en pratiquant la vérité » Ils essaient de rallier les gens à leur cause », dans Exposer les antéchrists. Les paroles de Dieu étaient très claires. Pour accepter la commission de Dieu, nous devons d’abord chercher Sa volonté, chercher les principes de notre devoir dans lesquels nous devons entrer, comprendre la vérité, obéir à Dieu, et suivre strictement les principes de la vérité dans notre devoir. Quand nous faisons notre devoir, nous devons aussi tenir compte des intérêts de la maison de Dieu, nous examiner nous-mêmes souvent, et ne pas comploter pour notre profit personnel. Cela réduit l’adultération de nos propres idées, et les erreurs que nous commettons dans nos devoirs. J’ai pensé que j’avais agi uniquement par ambition et désir dans mon devoir, que j’avais rarement cherché les principes de la vérité, et que, même quand j’avais acquis des connaissances, je n’avais pas obéi. Il est essentiel que le personnel d’abreuvement soit capable d’échanger clairement sur la vérité, d’avoir de la patience et de se montrer responsable. Sœur Wu était responsable dans son devoir, elle était aimante et patiente avec les nouveaux venus. Quels que soient les états ou les difficultés des nouveaux venus, elle pouvait échanger activement et résoudre leurs problèmes, elle comprenait aussi certains principes de l’abreuvement des nouveaux venus. Dans le passé, elle s’était montrée efficace dans son devoir, et elle ne commettait des erreurs maintenant qu’à cause de difficultés qu’elle ne parvenait pas à gérer. Vu la situation, nous devions lui offrir échange et aide, par amour, ou bien la traiter, l’émonder, l’exposer et la réprimander, et non simplement la démettre. De plus, quand j’avais vu que Sœur Chen était enthousiaste et amicale en apparence, j’avais imaginé qu’elle était apte à être cultivée, mais désormais, je comprenais que ce n’était pas conforme aux principes. Les gens qui ont une mauvaise humanité, qui font le mal et perturbent le travail de la maison de Dieu, ne doivent pas être cultivés. Sœur Chen désirait avec force la renommée et le statut, elle avait souvent lutté pour les obtenir autrefois, et elle avait perturbé le travail de l’Église. Après avoir été démise et isolée, elle n’avait jamais montré une compréhension authentique de ses transgressions. Elle suivait encore le mauvais chemin dans son devoir, et était capable à tout moment de perturber le travail de l’Église. On ne peut pas cibler les gens comme elle pour les cultiver sérieusement. J’ai vu que je ne connaissais pas les principes du renvoi et de l’utilisation des gens, et que j’agissais donc par ambition et par désir, ce qui perturbait et entravait le travail de la maison de Dieu. Cela nuisait également à Sœur Chen, c’était désastreux pour elle. Quand j’ai compris tout ça, j’ai remercié Dieu pour avoir arrangé la lettre écrite par mes frères et sœurs afin de me signaler et de m’exposer, ce qui m’avait empêché de continuer à suivre mon chemin malfaisant. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu. Dans la maison de Dieu, quoi que tu fasses, tu ne travailles pas à ta propre entreprise il s’agit du travail de la maison de Dieu, il s’agit de l’œuvre de Dieu. Tu dois constamment garder cette connaissance et cette perception à l’esprit et dire “Ceci n’est pas une affaire qui m’est propre, je fais mon devoir et j’assume ma responsabilité. Je fais le travail de l’Église. C’est une tâche que Dieu m’a confiée et je la fais pour Lui. C’est mon devoir, et non ma propre affaire privée.” C’est la première chose que les gens doivent comprendre. Si tu considères un devoir comme ton affaire personnelle et que tu ne recherches pas les principes de la vérité lorsque tu agis, et que tu l’accomplis selon tes propres motivations, tes propres idées et ton propre dessein, alors tu commettras très probablement des erreurs. Comment, donc, dois-tu agir si tu fais une distinction très claire entre ton devoir et tes affaires personnelles et que tu es conscient qu’il s’agit d’un devoir ? En cherchant ce que Dieu demande et en cherchant des principes. C’est vrai. Si quelque chose t’arrive et que tu ne comprends pas la vérité, et que tu as une idée mais que les choses ne sont toujours pas claires pour toi, alors tu dois trouver un frère ou une sœur qui comprend la vérité, avec qui échanger c’est la recherche de la vérité, et c’est avant tout l’attitude que tu dois avoir vis-à -vis de ton devoir. Tu ne dois pas décider des choses en fonction de ce que tu penses être approprié, puis donner le coup de marteau et dire que l’affaire est classée cela mène facilement à des problèmes. Un devoir n’est pas ton affaire personnelle qu’elles soient majeures ou mineures, les affaires de la maison de Dieu ne sont l’affaire personnelle de personne. Tant que cela se rapporte au devoir, ce n’est pas ton affaire privée, ce n’est pas ton affaire personnelle il s’agit de la vérité, et il s’agit du principe. Alors, quelle est la première chose que vous devez faire ? Vous devez rechercher la vérité et rechercher les principes. Et si vous ne comprenez pas la vérité, vous devez d’abord rechercher les principes ; si vous comprenez déjà la vérité, identifier les principes sera facile » Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a donné un chemin de pratique. Les devoirs sont des commissions de Dieu, il ne s’agit pas d’affaires personnelles, nous ne pouvons donc pas les faire à notre guise, pour satisfaire nos intérêts personnels. En toutes choses, nous devons chercher les principes de la vérité, et pratiquer selon les exigences de Dieu. Quand vous ne comprenez pas, vous devez échanger et chercher avec les autres. Quoi que les autres pensent, vous n’avez qu’à accepter l’examen de Dieu et faire de votre mieux. Même s’il y a parfois des erreurs dans votre travail, et si vous n’obtenez pas rapidement de bons résultats, si vous faites les choses devant Dieu, et non pour que les autres le voient, vous suivez le bon chemin, et Dieu vous guidera et vous bénira. Plus tard, je me suis ouvert à mes frères et sœurs au sujet de moi-même j’ai exposé comment j’avais fait mon devoir pour la réputation et le statut, mon désir de réussite rapide, mes violations du principe quand j’utilisais des gens, comment j’avais agi arbitrairement, et traité et réprimandé abusivement, ce qui leur avait fait du tort. Je leur ai présenté mes excuses solennelles, et je leur ai demandé de me surveiller davantage. Quand j’ai pratiqué de cette façon, mes frères et sœurs ne m’ont pas regardé de haut, ils m’ont encouragé, et dit que nous pouvions nous superviser les uns les autres et travailler ensemble pour bien faire nos devoirs. Bientôt, il s’est passé autre chose la diaconesse d’évangélisation a été temporairement dans l’incapacité de faire son devoir, parce que sa famille l’en empêchait. Apprendre cette nouvelle m’a rendu un peu nerveux. Je me suis dit Actuellement, les Églises font tout ce qu’elles peuvent pour prêcher l’Évangile, donc, si la diaconesse d’évangélisation ne peut pas accomplir son devoir, cela va gravement affecter notre travail ! Si je ne la remplace pas à temps, nos résultats ne s’amélioreront jamais. Mes supérieurs vont forcément penser que je suis incompétent, que je ne conviens pas à ce poste. » Alors j’ai discuté avec ma partenaire pour décider s’il fallait transférer cette diaconesse et trouver quelqu’un pour la remplacer. Ma partenaire m’a dit Cette diaconesse d’évangélisation s’est toujours montrée responsable et compétente, et son travail d’évangélisation donne de bons résultats, si tu la transfères simplement parce que, temporairement, elle ne peut pas gérer l’obstruction de sa famille, cela va à l’encontre des principes. » Alors que j’allais défendre ma position, je me suis souvenu tout d’un coup que j’avais remplacé Sœur Wu par la force. N’étais-je pas de nouveau en train d’agir pour protéger ma réputation et mon statut ? Ma partenaire me rappelait que je devais accomplir mon devoir selon les principes, j’avais failli commettre une nouvelle faute grave. J’ai remercié Dieu dans mon cœur, et j’ai dit à ma partenaire Mes intentions sont erronées je veux transférer cette diaconesse sans principes, pour protéger ma réputation. Elle est responsable, c’est une personne correcte. Si elle ne peut pas faire son travail en ce moment, nous n’avons qu’à prendre la relève et nous charger du travail d’évangélisation. Informons-nous également de sa situation et essayons de la soutenir et de l’aider. » Après m’avoir écouté, ma partenaire a acquiescé, et je me suis senti à l’aise en pratiquant de cette façon. Ensuite, quand j’ai fait mon devoir, je me suis souvent demandé Ai-je accompli mon devoir conformément aux principes de la vérité aujourd’hui ? Ai-je interagi avec les gens avec un tempérament corrompu ? » Si je faisais quelque chose qui n’était pas conforme aux principes, et à la volonté de Dieu, je priais Dieu de m’aider à changer. En pratiquant ainsi, j’ai vu les bénédictions de Dieu, le travail de l’Église s’est amélioré, et mes frères et sœurs ont pu accomplir activement leurs devoirs. Dieu soit loué !
27/06/2007, 09h30 1 morphdown Matière qui réfléchit sur la matière - Merci pour les conseils, je vais faire des recherches sur cet écrivain. Par contre pour recadrer le débat vers la science, pourrait-on éviter d'aller vers de conceptes phylo. même si le theme abordé est assez incitateur... Pour recadrer le débat, il faut que je reformule ma question, qui au départ n'a pas été assez précise Dans le monde scientifique, quel est le point de vue des -physiciens -chimistes -biologistes -médecine en général à cette question Est-ce que notre pensée est inductible de notre environnement, donc prévisible et calculable, ou au contraire nous sommes maîtres de notre pensée et pouvons créer des relations entre la matière qui va induire la création de notre propre gré? - 27/06/2007, 12h24 2 JPL Responsable des forums Re Matière qui réfléchi sur la matière Ce message est le seul qui a été sauvé d'une discussion supprimée pour cause de dérives philosophico-n'importequoi. Merci de bien vouloir rester dans le cadre qui a été défini. Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac 27/06/2007, 13h53 3 Bob Trebor Re Matière qui réfléchi sur la matière Bonjour Envoyé par morphdown Est-ce que notre pensée est inductible de notre environnement, donc prévisible et calculable, ou au contraire nous sommes maîtres de notre pensée et pouvons créer des relations entre la matière qui va induire la création de notre propre gré? Je suis désolé mais ton sujet est du domaine de la philosophie ou de la psychologie. Est maître de ses pensées celui qui les contrôle, celui qui a la maîtrise de les faire cesser ou de les faire naître. C'est un exercice de concentration dont le niveau ultime concentration supérieure est la méditation sur le vide vacuité. Imagine un sculpteur en action, sa création fait un avec lui, il est sa création par une négation de lui-même négation du soi. Là , la relation avec la matière est une synthèse du sujet et de l'objet, il y a unicité. Dans le cas contraire sans négation du soi par l'artiste, le sujet et l'objet reste en opposition, il y a dualité. L'être humain navigue entre une opposition totale où il est le jouet de lui-même et de son environnement, une opposition modérée où il est tour à tour le jouet et le joueur, une opposition maîtrisée où il est à la fois le jouet et le joueur où ce qui exprime est ce qui est exprimé. Au niveau de l'observation médicale, on peut retrouver ces différents états d'esprit ou niveau de conscience par cartographie scanner,irm des zones cérebrales en activité ou non. En physique, la mécanique quantique a montré l'inmportance de l'observateur qui malgré lui, se retrouve impliqué dans le résultat de l'expérience. La réponse à ta question serait"les deux mon capitaine". Nous sommes à la fois, consciemment ou inconsciemment, créées et créateurs en allant de ce qui crée à ce qui est créée. Si le différent était différent du différent, il existerait sans le différent Nagarjuna 27/06/2007, 14h03 4 morphdown Re Matière qui réfléchi sur la matière Moi je pense qu'on peut aborder cette question purement dans une analyse scientifique. Le but n'étant pas de répondre à la question, mais de dévelloper un raisonnement. -Observation -Supposition/Hypothèse -Expérimentation -Conclusion Au niveau actuel, où en sont les recherches au niveau des neuronnes? Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 27/06/2007, 19h29 5 Re Matière qui réfléchi sur la matière Est-ce que notre pensée est inductible de notre environnement, Le inventions ou idées sont souvent comme on dit populairement "dans l'air du temps". Cela signifie que plusieurs personnes ont eu des idées convergentes au même moment, et que les évènements extérieurs en sont la cause donc prévisible et calculable, ou au contraire nous sommes maîtres de notre pensée prévisible ou calculable , Non c'est trop complexe. Intuitivement ressentir la pensée d'autrui cela parait possible. Maitre de nos pensées, encore faut il se libérer d'aprioris ou d'éducations strictes , etc... et pouvons créer des relations entre la matière qui va induire la création de notre propre gré? Après avoir fumée une barrette de "chit" , peut être ... J'en ai connu qui éteignaient les réverbères en claquant des doigts après avoir fumé d'après leur dire Ou du LSD vraisemblablement plus surement , LOL.
Qu’est-ce que réfléchir ? D’après les cognitivistes, nous ne réfléchissons pas très souvent parce que notre cerveau n’est pas conçu pour réfléchir mais plutôt pour éviter de le faire. Réfléchir est à la fois difficile et une action lente et peu fiable. Le cerveau est fait pour voir et bouger mais sa capacité de réflexion est lente, contraignante, approximative. Daniel T. Willingham, professeur de psychologie cognitive, considère que notre capacité à voir et à nous déplacer est une prouesse cognitive remarquable ces activités demandent plus de travail au cerveau que la seule réflexion. 3 propriétés de la réflexion demande du temps Notre vision sait assimiler une scène complexe instantanément. En un coup d’oeil, nous assimilons l’intégralité des détails d’une scène pour en avoir une photo globale nous voyons un jardin plutôt qu’un portail, un pelouse, des fleurs et des arbres de manière isolée. implique un réel effort Pour voir de manière globale et courante, nous n’avons pas besoin de nous concentrer; nous pouvons faire autre chose en même temps. Pour réfléchir, nous avons besoin de nous concentrer; notre cerveau qui réfléchit ne peut pas faire autre chose en même temps. C’est pourquoi la nouveauté d’une action, bien qu’elle puisse être amusante, est également épuisante. réflexion est approximative Réfléchir ne nous offre de pas de garantie les solutions que nous trouvons peuvent être fausses et parfois nous ne trouvons pas de solution. Mémoire et réflexion Daniel T. Willingham affirme que, dès que c’est possible, nous nous reposons sur notre mémoire car elle nous évite d’avoir à réfléchir et ainsi nous économise. Pour prendre chacune de nos décisions et pour agir au quotidien, nous n’avons pas besoin de réfléchir systématiquement souvent, nous agissons comme d’habitude. Notre mémoire, comme notre vision, nous permet d’analyser immédiatement et sans effort des problèmes complexes. – Daniel T. Willingham La mémoire enregistre des faits, des événements, des visages et des noms mais également des techniques, des procédures. La neuroplasticité Pour s’économiser et éviter de réfléchir, la nature nous a dotés de neuroplasticité. Le cerveau est capable de changer. A force de répéter des actions complexes qui demandent de la réflexion, ces actions sont automatisées. Elles deviennent inconsciente et nous n’avons plus besoin de réfléchir pour les effectuer. Grâce à la neuroplasticité, notre cerveau s’ajuste et s’habitue. Le cerveau est comme une forêt si on marche plusieurs fois dans le même sentier, un chemin va progressivement se créer. Dans le cerveau, il y a création de sentiers de communication entre les neurones. Ces sentiers connexions neuronales deviennent de plus en plus efficaces et mènent à l’automatisation des processus liés à une certaine tâche et donc à la résolution plus faciles de certains problèmes. Apprendre, c’est créer des connexions entre des neurones. Les choses deviennent plus faciles et on est capable de les faire de mieux en mieux car le chemin est “défriché”, les informations passent plus rapidement d’un neurone à l’autre par ces voies de communication. Plus on utilise le cerveau pour créer des connexions neuronales, plus on apprend. Ainsi, quand on apprend à faire du vélo, les gestes sont d’abord conscients et nécessitent une forte concentration pédaler, maintenir son équilibre, prendre assez de vitesse, regarder droit devant, freiner… Penser à toutes ces choses en même temps demande de gros efforts. Avec la pratique, des connexions se créent entre les neurones sollicités pour effectuer cette tâche. Les neurones ont créé des chemins pour communiquer entre eux et l’information circule de manière plus fluide. Mais si on ne marche pas pendant un bon bout de temps dans les sentiers créés par la forêt, la végétation reprend sa place. Les réseaux de neurones non utilisés finissent par se déconnecter progressivement. Réfléchir à l’école Ainsi, le cerveau a développé des stratégies pour s’économiser et éviter d’avoir à réfléchir les principales fonctions, la vision et le mouvement, ne demandent pas de réflexion dans la majorité des cas, la mémoire remplace la réflexion pour nous guider dans nos actions la neuroplasticité permet d’automatiser des actions grâce à la pratique Si nous ne sommes pas doués pour réfléchir et si la mémoire et la pratique nous évitent d’avoir à le faire, il est facile de comprendre pourquoi les enfants n’aiment pas l’école, un lieu entièrement dédié à l’apprentissage de la réflexion. Heureusement, ma démonstration ne s’arrête pas à ce constat. Car nous aimons réfléchir. Nous sommes curieux par nature et nous cherchons les occasions de faire travailler nos neurones. Mais nous abandonnons assez facilement et, pour que notre curiosité soit attisée, il faut que nous soyons dans les meilleures conditions possibles. – Daniel T. Willingham Réflexion et curiosité Les êtres humains aiment réfléchir, ils aiment résoudre des problèmes ! Quand nous trouvons la solution à un problème, notre cerveau s’auto récompense en sécrétant une petite dose de dopamine, un neurotransmetteur proche de l’adrénaline. Les neuroscientifiques et les les cognitivistes soupçonnent donc un lien entre apprentissage et plaisir ! Ce plaisir est lié à l’effort que nous fournissons pour résoudre le problème. Quand nous sommes bloqués face à un problème, nous sommes frustrés mais nous ne ressentons pas de plaisir si la réponse nous est donnée. Par ailleurs, tous les raisonnements ne sont pas aussi attrayants les uns que les autres. Le sujet d’un problème au sens large de jeu de l’esprit peut donc attiser la curiosité mais ne suffit pas à la satisfaire. Nous n’aimons réfléchir que quand nous estimons que notre effort intellectuel sera récompensé par la satisfaction que suscite la résolution d’un problème. Il n’est donc pas contradictoire de dire que les êtres humains évitent de réfléchir quand ils le peuvent et, dans le même temps, qu’ils sont curieux par nature la curiosité nous pousse à nous intéresser à de nouvelles idées, à de nouveaux problèmes, mais nous évaluons à chaque fois la quantité d’efforts qu’il nous faudra fournir. – Daniel T. Willingham 4 facteurs d’une réflexion réussie informations fournies par l’environnement L’environnement est constitué de choses à voir, à entendre, de problème à résoudre… faits et événement entreposés dans la mémoire à long terme Toutes les informations contenues dans la mémoire à long terme sont extérieures à la conscience. C’est comme si elles restaient là bien sagement en attendant le moment où on en a besoin. A ce moment-là , pour répondre à une question par exemple, les informations deviennent conscientes. Les informations pour répondre à une question ou un problème peuvent donc soit venir de l’environnement, soit de la mémoire à long terme. La réflexion consiste à trouver de nouvelles combinaisons entre ces informations et ce processus se situe au sein de la mémoire de travail mémoire à court terme. On comprend alors l’importance de la culture générale dans le processus de réflexion et la raison pour laquelle Daniel T. Willingham insiste sur la culture générale dans un monde connecté même si la connaissance est disponible rapidement “à l’extérieur” du cerveau Peut-on se passer de culture générale et de mémorisation de faits/connaissances dans un monde connecté ? cheminements mentaux procédures, techniques mémorisés dans la mémoire à long terme La mémoire à long terme contient également des connaissances procédurales. La connaissance procédurale est comme une liste indiquant quels éléments il faut combiner et à quel moment une sorte de recette pour un type de réflexion particulier. quantité d’espace disponible dans la mémoire de travail Plus la mémoire de travail mémoire à court terme est remplie, plus il est difficile de réfléchir. Daniel T. Willingham compare la mémoire de travail à la conscience. La mémoire à court terme est la “petite” mémoire qui permet de stocker des informations temporairement. Aucune information ne peut passer directement de l’environnement extérieur à notre “boite noire” intérieure sans passer par la mémoire à court terme. La mémoire à court terme permet de garder une information quelques secondes, pas plus. On ne peut maintenir dans la mémoire à court terme que + ou – 7 éléments à la fois. C’est pour cette raison qu’on regroupe les chiffres des numéros de téléphone pour les retenir par exemple. Un empan est la quantité d’information le nombre de chiffres par exemple qu’un individu peut mémoriser dans un court laps de temps en moins de 20 secondes. Cette mesure est importante puisqu’elle influence le nombre d’unités d’information qui peuvent être mémorisées en même temps. La mémoire à court terme est très sensible aux distractions, à l’anxiété. Selon Daniel T. Willingham, si l’un des facteurs fait défaut, il y a de fortes chances pour que la réflexion échoue… ou qu’elle soit longue, difficile, laborieuse, approximative. D’un point de vue cognitif, un des facteurs fondamentaux pour les apprentissages est celui de savoir si un élève ressent cette sensation agréable de satisfaction quand il résout un problème. ……………………………………………………………………. Source Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école ! de Daniel T. Willingham éditions La librairie des Ecoles. Disponible en médiathèque, en librairie ou sur internet. 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