🌟 Dessinateur De Bd Tourne Vers La Science Fiction

Cest aussi à partir des années 1960 que science-fiction et bande dessinée combinent, pour quelqeus décennies encore, leur destin de catégories littéraires marginalisées. Tous deux débutent une recherche de légitimité culturelle et façonnent une posture commune de martyr face à la « grande » culture. Alorsqu'il poursuit des études d'archéologie, Fabien Lacaf se tourne vers la bande dessinée en 1980, publiant des séries dans Charlie Mensuel et Métal hurlant, travaillant avec des scénaristes tels que Patrick Cothias ou Serge Le Tendre. Dessinateur réaliste, son inspiration est diverse allant de la science-fiction (Les Robinsons de l'Aquarius), au policier (Macadam), en passant Illustrateurspécialisé dans la science-fiction, l’anticipation et le fantastique, Pierre Le Pivain aka Le PiXX, a illustré beaucoup d’ouvrages de jeu de rôle, et s’est aussi spécialisé dans le concept art tant pour la BD que pour le Jeu Vidéo, milieu dans lequel il a été journaliste pendant 17 ans. En 2008, il s’est tourné davantage vers les productions graphiques Maisil existe des résistants, des hommes et des femmes qui s’obstinent à semer, des graines de légumes et de céréales, mais aussi les germes d’une révolte. Après le western Le Révérend , sur un scénario de Lylian (2 tomes chez EP), Augustin Lebon, avec l’aide de Louise Joor ( Kanopé , Neska du clan du lierre ) au scénario, se tourne vers la science-fiction, dans un registre Voiciquelques photos de la BD : Après avoir travaillé dans le milieu institutionnel, elle se tourne désormais vers l’illustration. Elle aime les graphismes épurés et révéler la douceur chez ses personnages. Elle vit et travaille à Bruxelles. Audrey Carpentier est illustratrice indépendante et auteure de bandes dessinées sous le pseudo Adley. Diplômée de Saint-Luc (Tournai LaBD qui nous aide à mieux comprendre l'après-Charlie Temps de lecture : 11 min. Vincent Brunner — 16 janvier 2016 à 8h12. Un an après, la PhilippeDruillet est un dessinateur culte qui a bouleversé la bande dessinée dans les années 70 avec son univers de science-fiction. Mais si NicolasLux et M. Puzzle sortent un album de BD, « C’était mieux après », entre science-fiction et mémoire occitane. «Je suis un homo urbanus. La frontière du monde s’arrête à Consacréeà la conquête spatiale de 1957 à 1969, elle est dessinée par le jeune dessinateur Damien Cuvillier et sera publiée chez Delcourt à partir de mars 2010. Sur le forum Astronautique , il en dévoilait le pitch : « Il s'agit d'un thriller d'espionnage sur fond de guerre froide et de course à l'espace dont le premier cycle couvrira la période 1957-1969. Sabiographie. Richard Corben (né le 1er octobre 1940) est un dessinateur et scénariste américain de bande dessinée, surtout connu pour ses œuvres de fantasy. Il a été l'un des piliers du magazine Heavy Metal. En 2018, il se voit attribuer le Grand Prix du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême. Spécialisédans la science-fiction hyperréaliste, l’Argentin, connu surtout pour la série « La Caste des Méta-Barons », s’est éteint, vendredi 3 avril, à l’âge de 76 ans. Bienque né à la fin du XIXe siècle, André Oulié ne s’est tourné vers la bande dessinée qu’à la Libération : il avait 50 ans. Suivront 20 années d’une carrière discrète, placée sous le signe de Zorro : à la fois dessinateur du personnage et collaborateur du magazine portant son nom. Un dessinateur au palmarès beaucoup moins riche que nombre des précédents Précédent13 141516 17 Suivant THE WORLD OF HANS ZIMMER. Musique classique AMNEVILLE 57360 Le 30/09/2022 à 20:00 700THE WORLD OF HANS ZIMMER A Symphonic Celebration Après une tournée triomphale en 2021 réunissant plus de 41 000 spectateurs ainsi que deux concerts complets à Paris à La Seine Musicale et à l'Accor Arena en 2019, « The World of Hans Zimmer Ila été choisi au 2e tour de scrutin. "Les autrices et les auteurs consacrent ainsi par leur vote un auteur dont l’univers onirique, tourné notamment vers PaulGillon se tourne vers un nouveau style en abordant ainsi la bande dessinée pour adulte, la science-fiction. Il veut se lancer dans la science-fiction avec le dessinateur Jean-Claude Forest pour le journal France-Soir en arrêtant de produire 13, rue de l'Espoir, mais la rédaction refuse dans un premier temps [3]. a8Ka. Le jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu où tout le monde a tôt ou tard besoin d’aide supplémentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles. Plus tôt ou plus tard, vous aurez besoin d’aide pour réussir ce jeu stimulant et notre site Web est là pour vous fournir des CodyCross Dessinateur de BD tourné vers la science-fiction réponses et d’autres informations utiles comme des astuces, des solutions et des astuces. Ce jeu est fait par le développeur Fanatee Inc, qui sauf CodyCross a aussi d’autres jeux merveilleux et déroutants. Si vos niveaux diffèrent de ceux ici ou vont dans un ordre aléatoire, utilisez la recherche par indices ci-dessous. CodyCross Bienvenue au Japon Groupe 577 Grille 5ENKIBILAL [FRENCH] Le dessinateur Carlos Meglia, né en 1957, est mort le 14 août, des suites d’un malaise cardiaque. D’origine argentine Carlos Meglia aura su s’intéresser à différentes écoles de BD, peut-être parce qu’il a débuté d’abord en tant qu’illustrateur, en 1974. Pendant neuf il oeuvrera ainsi pour des sujets aussi divers que Don Quichotte », La Bible Pour Enfants » ou encore des images de science-fiction, d’actualités sportives ou, enfin, d’humour, style dans lequel sa maîtrise de la caricature peut s’exprimer pleinement. Ce n’est qu’en 1983 qu’il publie ses premières véritables BD, tout en se tournant vers l’animation. Dans la seconde moitié des années 80, il est prêt à faire de la Bande-Dessinée son activité principale. Il fait équipe avec un autre Carlos Trillo pour lancer des concepts comme Cybersix. Paradoxalement dans les années 90, alors qu’il traverse l’Atlantique pour s’installer en Espagne, il commence à travailler pour le marché américain. On croise alors son style sur des séries comme Star Wars Underworld ou Superma/Tarzan Dark Horse, Monster World ou Adventures Of Superman, Superman Infinite City DC et même un peu de Marvel Elektra. Il illustrera aussi un épisode entier de Crimson, se substituant à Humberto Ramos. Et pour cause Meglia est un modèle pour Ramos et la filiation entre leurs deux styles est évidente Ramos étant le premier à le reconnaître comme mentor. En fait Meglia fut même une inspiration majeure pour bon nombre de dessinateurs sud-américains on citera également Francisco Herrera. Ses épisodes d’Adventures of Superman la saga du Superbaby, Adv. of Superman, en 2002 le feront cependant méconnaître par une partie du lectorat le dessin est de piétre qualité et, fait rarissime, l’éditeur Eddie Berganza s’en excusera alors publiquement. Mais l’explication n’a rien à voir avec une baisse de niveau de l’auteur. En vérité Meglia est entretemps retourné s’installer en Argentine. Hors, en 2002, ce pays est secoué par des émeutes alors qu’il commence à travailler sur ces épisodes, il est obligé de fuir jusqu’au Mexique où on lui prête alors un atelier pour qu’il puisse tenir, tant bien que mal, les délais. Bien plus qu’un passage à vide, ces épisodes il est vrai peu représentatifs de son niveau habituel sont néanmoins un témoignage de son attachement à sa profession là où la plupart des artistes se seraient retranchés derrière l’actualité terrible du moment, Meglia aura fait son possible pour tenir ses engagements envers son éditeur, dans des conditions qu’on comprendra. Ceci donner la mesure de l’homme au delà de l’artiste… Plus tardivement on l’avait vu travailler pour l’éditeur français Soleil ou il avait co-créé Cañari » avec Crisse. Un univers totalement nouveau dont le lecteur suivra l'évolution, et le renouveau par le biais de John Difool, antihéros manipulé par l'incal... Giraud-Moebius Jodorowsky L'univers de l'Incal Les années Métal Hurlant Les Humanoïdes Associés Space Opera Spiritualité et religionJohn Difool JDF, détective de classe R dans la cité-puits, dévoue sa vie minable aux homéoputes, ouiski et drogues. Mais son univers sera bousculé par l'arrivée de l'Incal force immatérielle et divine. L'incal le pénétrant, JDF sera alors la proie pour toutes sortes d'autorités planétaires en quête du pouvoir représenté par l'Incal. Un groupe sera alors constitué autour de l'Incal, emmenant ainsi JDF malgré sa paresse congénitale, afin de sauver le monde de la Ténèbre, ennemi absolu de l'Incal, ayant pour allié le techno-centreur haute autorité de l'univers. Viendra alors une suite d'évènements mêlant fuites et combats, réalité et surnaturel, hommes et divinités. Tout sera vécu par JDF, toujours las de devoir participer à cette aventure, mais fil conducteur du sauvetage du monde, malgré son incapacité absolue à faire les choses bien. Le lecteur sera emmené dans l'aventure par l'intermédiaire de JDF, on y découvre ainsi un univers futuriste dévoilant les travers d'une technologie débordante et d'une tyrannie extravertie. Mais on est aussi plongé dans une mythologie nouvelle et surnaturelle, apportant un regard différent sur l'existence même de Dieu. Scénariste Jodorowsky Alejandro Dessinateur Moebius Editeur Les Humanoïdes Associés Genre / Public / Type Science-Fiction / Ados - Adultes / BD Date de parution Mai 1981 Statut histoire Série terminée 6 tomes parus © Les Humanoïdes Associés 1981 Les avis TUSTOMU NIHEI / GLÉNAT Pixels Mangas Publié le 25 janvier 2019 à 09h17 - Mis à jour le 25 janvier 2019 à 09h17 Méga-PixelsLe créateur de la série de mangas Blame ! » est un des premiers dessinateurs japonais à avoir popularisé le genre en France. Le Festival d’Angoulême lui consacre une exposition. Printemps 2000. Dans les rayons manga des librairies françaises encore clairsemés, les lecteurs découvrent un nouveau récit de science-fiction corrosif. Ils suivent les pérégrinations de Killee, un héros taciturne qui arpente une immense cité métallique et mécanique, à la recherche d’un génome sain, vestige d’une époque où les humains et les machines ne se confondaient pas tant. L’histoire est brutale. Le dessin est sombre, brut, novateur L’histoire est brutale, quasi muette, sujette à toute interprétation et tout fantasme. Le dessin est sombre, brut, novateur. Son nom résonne contre les parois de son décor étouffant Blame !. Son auteur, Tsutomu Nihei, est un jeune inconnu. Vingt ans plus tard et au terme d’une production de séries qui ne s’est jamais suspendue, ce maître de la science-fiction japonaise est mis à l’honneur dans une exposition au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême qui se tient du jeudi 24 au dimanche 27 janvier. Blame ! fait partie des premières œuvres qui ont facilité l’introduction du manga en France, notamment à destination des adultes », rappelle Satoko Inaba, directrice éditoriale chez Glénat, l’éditeur français de M. Nihei. En grande partie parce qu’il s’agit d’une œuvre cyberpunk universelle et compréhensible, contenant très peu de codes japonais. » Une mise en images du désenchantement du Japon Fan d’architecture, des romans du pape du cyberpunk William Gibson et des créatures façonnées par Hans Ruedi Giger pour le film Alien, Tsutomu Nihei s’inscrit dans la lignée des mangakas, comme Katsuhiro Otomo Akira ou Masamune Shirow Ghost in the Shell, qui ont mis en images le désenchantement du Japon après une période de reconstruction post-seconde guerre mondiale, faste et pleine de fascination pour la technologie. Lire aussi Ghost in the Shell » des intelligences artificielles et des hommes Au Japon, la science-fiction n’est pas très populaire », raconte l’auteur au Monde. Avant de développer avec le sourire En réalité, je n’aime pas qu’on me dise que je suis un auteur de SF [science-fiction] car je ne veux pas être catégorisé, d’autant que j’aime mélanger les genres. Pour “Aposimz”, j’interdis à tout le monde d’utiliser le terme de SF car, dès qu’ils entendent ce mot, les gens n’achètent plus. Ce n’est pas du tout pour nier la SF, mais plutôt pour élargir le public. Quant aux fans, eux savent dès les premières pages que ç’en est. » En fer de lance du cyberpunk japonais, Tsutomu Nihei est archétypal de la science-fiction des dix dernières années, qui digère les différents courants de ce genre, intègre énormément d’influences occidentales », estime Stéphane Ferrand, le commissaire de l’exposition angoumoisine consacrée au maître. L’auteur, né en 1971 dans la préfecture de Fukushima, aime s’amuser des codes de l’horreur, mais aussi faire appel dans ses séries les plus récentes au space opera Knights of Sidonia, ou encore inventer des récits postapocalyptiques, à l’instar de sa dernière série, Aposimz, qui vient de paraître en France. Il invoque également des genres populaires japonais comme le mecha, qui met en scène des hommes dans des robots géants, et fait de nombreux clins d’œil à des créatures ou plans célèbres de Moebius, Enki Bilal ou encore Stanley Kubrick. Lire aussi Aposimz », le nouveau manga cyberpunk de l’auteur de Blame ! » J’aimerais qu’il y ait plus de clones » Le transhumanisme traverse l’œuvre de Tsutomu Nihei Dès ses débuts au milieu des années 1990 et jusqu’à Aposimz, qui raconte comment un groupe d’exilés tente de survivre sur un astre artificiel ravagé, Tsutomu Nihei n’a eu de cesse d’explorer la fusion de l’être humain et de la machine. Dessiner la chair qui se mécanise et se transforme, questionner la part et la perte d’humanité de ces hybrides… Le transhumanisme traverse la bibliographie de l’auteur. Je montre des univers dans lesquels les gens ont déjà avancé sur le sujet et sont allés très loin, et ce qui en a découlé après. C’est comme anticiper dès maintenant les questions qui se poseront demain », résume le dessinateur. Nihei pourrait faire sienne la formule de Rabelais “Science sans conscience n’est que ruine de l’ame” », estime Stéphane Ferrand. Des sujets aux portes de notre époque et pour lesquels le mangaka s’enthousiasme, sans inquiétude. J’espère que les progrès vont s’accélérer, même si des questions morales freinent. J’aimerais qu’il y ait plus de clones par exemple, ou que le design génétique soit démocratisé. Ce qui me gêne en revanche aujourd’hui, c’est que, par exemple, une personne amputée va toujours avoir besoin d’un médecin ou d’un spécialiste pour la maintenance de la partie artificielle. L’idée de maintenance me dérange. » Si Tsutomu Nihei admet bien volontiers ses influences, il n’aime guère expliquer les nombreuses références qu’il maintient d’une série à l’autre, comme la présence transversale de certaines entités commanditaires et secrètes l’agence de santé publique ou encore l’industrie TOA. Moi-même quand je lis les œuvres et que j’y trouve des ressemblances, des références, j’ai envie de demander à l’auteur si ça fait partie d’un ensemble, s’il y a une explication. Mais je sens que s’il répond je vais être déçu. Alors en ce qui me concerne, je préfère ne pas répondre et laisser mes lecteurs se faire leur idée. Je compte encore faire quelques séries, et ce n’est qu’après que j’expliquerai. » Vers un style plus accessible Insondable comme ses héros, l’auteur japonais entretient le flou sur l’interprétation de son œuvre. C’est en ce sens qu’il a une vraie démarche d’auteur. Il rêve d’un lecteur qui comprenne directement son point de vue, son travail. Il requiert son attention, lui demande de prendre du temps avec des planches très fournies et peu bavardes. Il impose un questionnement », analyse le commissaire d’exposition. Une fois que l’œuvre est publiée, je ne veux plus la commenter ou donner des explications complémentaires. Pour moi, c’est l’œuvre qui dit tout », défend fermement et depuis toujours l’auteur. Pourtant, depuis une dizaine d’années, avec la publication de son space opera Knights of Sidonia, que l’on rapproche volontiers de la série télévisée Battlestar Galactica, Tsutomu Nihei s’est employé à rendre son œuvre plus accessible. Sidonia est le nom du vaisseau sur lequel se sont réfugiés des habitants du Système solaire après son explosion, en quête de nouvelles planètes à habiter. Un effort d’ouverture qui s’est manifesté par un glissement de style au milieu de la série, tant sur le plan graphique que sur le plan scénaristique. L’auteur explique “Blame !” était ma première série, j’ai fait ce que j’avais envie de faire sans me demander si les lecteurs comprendraient, sans me soucier d’eux. C’était pas mal de bosser ainsi mais ça peut amener des regrets. Pour “Aposimz”, je ne voulais pas que les lecteurs se sentent perdus. J’ai tenu à tout clarifier, d’où la présence de beaucoup plus de dialogues, notamment. » Tout le monde n’a pas aimé mon évolution » Plus que des planches bavardes, ce qui frappe lorsqu’on tient entre ses mains Blame ! et Aposimz, c’est la rupture radicale dans la couleur dominante. Le noir aveuglant laisse place à un blanc laiteux, parfois poisseux. Il s’agit d’un glissement technique comme métaphorique, interprète Stéphane Ferrand, on peut le mettre en parallèle avec l’effacement génétique de l’humain. » Le créateur y voit également un défi technique Je pense que j’ai trop travaillé avec le noir et, aujourd’hui, je voudrais vraiment m’exprimer à travers des traits. » Des traits qui tirent d’ailleurs presque vers le pointillisme, là ou vingt ans plus tôt le lecteur affrontait un trait vif, rageur. En clarifiant sa ligne artistique, en assumant un virage plus pop, Tsutomu Nihei a su gagner l’affection d’une nouvelle génération de lecteurs. Très respecté pour sa patte sans concession, admiré pour abattre un travail colossal sans assistant – fait assez rare aujourd’hui –, Nihei a également participé à la production des adaptations animées de ses œuvres, disponibles depuis peu sur Netflix. Une troisième est même en préparation. Le mangaka, par ailleurs très tourné vers l’étranger, contrairement à certains de ses confrères et consœurs, regrette toutefois que certains de ses premiers fans au Japon désapprouvent le changement. Ils n’ont pas tous aimé mon évolution du noir au blanc. D’aucuns laissent des commentaires sur Amazon en disant que ce n’est plus Blame !. En même temps, j’ai gagné des lecteurs, donc je pense qu’au fond j’ai eu raison… » Nos principaux articles sur le festival d’Angoulême 2019

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