🐾 Il S En Passe Des Choses Dans Ma CitĂ©

StreamEnzo et Yilmaz POÉSIE Il s'en passe des choses dans ma citĂ© (Guy Foissy) by @CM2_CHAPELLE on desktop and mobile. Play over 265 million tracks for free on SoundCloud. Play over 265 million tracks for free on SoundCloud. Depuisle 1 er juillet 2017, ils sont cinq bĂ©nĂ©voles Ă  se passionner pour les vieilles bicoques qui donnent le frisson. Ils sont de Maubeuge, Fourmies et Bousbecque. À leur actif, deux maisons hantĂ©es et six lieux oĂč on ne mettrait pas les pieds (bunkers, forts, bastions). Lesgens naissaient Les gens vivaient Les gens mouraient. 25 10 Il s’en passe des choses dans ma citĂ©. Il n’y a qu’à regarder. On voit de tout, on peut tout voir. Mais ce qu’on ne voit jamais dans ma citĂ©, c’est un regard. Un regard qui vous Youssoupharevient sur la polĂ©mique autour de l'hymne des Bleus : "Il y a des choses que j'aurais Ă©crites diffĂ©remment si j'avais ma sensibilitĂ© d'aujourd'hui" (VIDEO) Le 07/06/2021 Ă  12:01 Danscette partie je vous parlerai de choses dont je ne suis pas particuliĂšrement trĂšs fiĂšre. Donc Ă  toutes celles qui jugent facilement, ben je m'en fou jugez-moi mais sachez que la roue tourne. De plus je ne suis vraiment pas fiĂšre de mes actes Ă  ce moment-lĂ  mais je les assume pleinement et je savais trĂšs bien qu'en Ă©crivant cette chronique ben je devrais vous en parler et donc assumer NathalieJupin, de l'Office de Tourisme de le Mans MĂ©tropole regorge de visites Ă  faire, prenons note ! Visites originales au cƓur de la citĂ© PlantagenĂȘt, de la cathĂ©drale %26quot;sans 1eroctobre 2021 : en dĂ©but de saison 2022, grĂące au soutien de la ville de Valence, MinĂ©ral Spirit dĂ©mĂ©nagera dans des nouveaux locaux, zone des AurĂ©ats. Ce complexe de 2900mÂČ construit par le groupement d’entreprises locales Icare accueillera Ă  terme les trois disciplines de l’escalade (le bloc, la difficultĂ© et la vitesse). Lesinvestissements pas trĂšs “clean” du maire de San Francisco; Provoquer des marĂ©es noires sur Internet, c’est dĂ©sormais possible ; Verre vert dans la citĂ© des anges ; Brad Pitt veut la peine de mort pour BP ; Quand les carottes se prennent pour des chips ; Des joujoux McDo aux sacs en plastique : 10 choses non grata Ă  San Francisco Cequ’il se passe entre des choses et des groupes : la CitĂ© modĂšle Ă  Bruxelles. Dans son dernier ouvrage, L’espace, un objet central de la sociologie, Jean Remy, reprenant Émile Durkheim, Ă©voque les effets de milieu qui font naĂźtre des interdĂ©pendances entre des Ă©lĂ©ments de nature hĂ©tĂ©rogĂšne mais qui, nĂ©anmoins, ont en commun Traductionsen contexte de "passe des choses dans" en français-anglais avec Reverso Context : Il se passe des choses dans ma vie privĂ©e, tu dois me voir. Ilfaisait froid cette nuit, les carreaux sont engivrĂ©s, les oiseaux sont recroquevillĂ©s dans leur nid, mais l ÉtĂ© se fait tout de mĂȘme sentir. Dans une maison. Forum de la guilde Les MaĂźtres Boulets. Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Accueil ; Rechercher . S'enregistrer ; Connexion ; Le deal Ă  ne Le23/07/2022 Ă  17:15 par Virginie Gonçalves. InvitĂ© dans l'Ă©mission Il n'y a qu'une vie dans la vie sur Europe 1 ce samedi 23 juillet, Michel Polnareff a Ă©voquĂ© les pĂ©riodes difficiles de Ils’en passe des choses dans ma citĂ©. Il n’ y a qu Ă  regarder. On voit tout, on peut tout voir. Mais ce qu’on ne voit jamais dans ma citĂ©, c’est un regard. Un regard qui vous regarde et qui s’attarde. Les gens naissaient Les gens vivaient Les gens mouraient Et moi, je restais sur mon banc de pierre, encadrĂ© par mes deux sacs. Je regardais. Ils’en passe des choses dans ma ville Il s’en passe des choses dans ma ville Il n’y a qu’à regarder. Moi un jour j’ai dit : « J’arrĂȘte, je regarde » . J’ai po Profitezdes longues soirĂ©es d’étĂ©, la tĂȘte dans les Ă©toiles Chaque jeudi, du 14 juillet au 18 aoĂ»t ainsi que les mardis 2, 9 et 16 aoĂ»t , la CitĂ© de l’espace ouvre ses portes en nocturne et vous accueille de 10h Ă  23h autour d’animations inĂ©dites : profitez des expositions, spectacles et animations en continu ainsi que d’une ambiance inĂ©dite du site. P4IPK. Les expressions françaises dĂ©cortiquĂ©es explications sur l'origine, signification, exemples, traductions French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. Translation - based on AI technology Oops! We are having trouble retrieving the are working on solving the issue. Il s'en est passĂ© des choses Voice translation and longer texts Il s'en est passĂ© des choses depuis votre arrivĂ©e. Il s'en est passĂ© des choses dans ma vie depuis la derniĂšre fois. Il s'en est passĂ© des choses, vraiment. Il s'en est passĂ© des choses depuis ce printemps. No results found for this meaning. Results 2588592. Exact 67. Elapsed time 982 ms. Il s'en passe des choses chez nous...Valentine et Gauthier sont venus nous dire bonjour Ă  notre grand plaisir, leur voyage de noce faisait Ă©tape entre autre Ă  la RĂ©union Maurice avec ses plages paradisiaques Ă©tait l'autre Ă©tape pour les curieux. En plus, ils avaient de bonnes biĂšres belges camouflĂ©es dans les valises et de bons biscuits plus un colis surprise venant de Kraainem!!! DĂ©cidemment, on est Ă  chaque fois trĂšs une fois, on va s'inspirer des impressions de nos visiteurs pour Ă©crire. extrait d'un mailNous avions prĂ©vu de faire le Grand BĂ©nare et sa superbe vue sur le cirque de Mafate"Nous sommes partis Ă  7h normalement c'Ă©tait 6h30 mais Ă©tant donnĂ© que Gauth n'a pas changĂ© l'heure de son GSM le dĂ©part a Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ© ! Hu. Direction les remparts du cirque de Mafate pour une belle balade. AprĂšs avoir marchĂ© 2h les nuages ont envahi les cirques donc c'Ă©tait peine perdue pour la suite de la balade". On a rebroussĂ© chemin et on s'est rĂ©galĂ© d'un pique-nique pour reprendre des forces"Mais Ă©tant donnĂ© qu'ils ont plus d'un tour dans leur sac ils nous ont emmenĂ© au Bassin de Saint Gilles oĂč nous avons pu admirer de belles cascades. Ce bassin est en rĂ©alitĂ© composĂ© de trois bassins donc encore 1h30 euh elle exagĂšre un peu sur le temps lĂ  de marche pour trouver le haut de la cascade mais pas d'autre bassin. Du coup demi tour vers le bassin du bas ou Gauthier et Marie Laure en ont profitĂ© pour se rafraĂźchir." Et l'IPhone de Valentine aussi, enfin presque."Une Bonne nuit bien mĂ©ritĂ©e et 30 piqĂ»res de moustique pour val uniquement bien sur". Nous avons eu la chance cette fois-ci de pouvoir ĂȘtre tranquilles par rapport aux moustiques, ils avaient du sang neuf. D'ailleurs, les moustiques aimeraient que tu reviennes, ils sont tristes sans toi!Gauthier a Ă©tĂ© convaincu pour faire son baptĂȘme de plongĂ©e Yes, on avait un petit espoir de rencontrer au moins une baleine en trajet mais c'est encore un petit peu tĂŽtValentine, elle, a dit directement qu'elle ne mettrait pas un pied dans l'eau de la RĂ©union! Elle a finalement changĂ© d'avis en se baignant dans le lagon de l'Ermitage. Elle en est ressortie entiĂšre...Et en plus, elle drague les hommes dĂšs que Gauthier a les yeux dans l'eau c'est du joli Ă  peine mariĂ©e.Notre superbe piscine Ă  dĂ©bordement avec vue sur l'OcĂ©an a eu beaucoup de succĂšs et beaucoup de fous rire. Des tas d'animaux s'y sont baignĂ©s du crocodile Ă  l'Ă©lĂ©phant en passant par l' ont failli revenir en Belgique avec trois chats, le premier celui de la voisine qui squatte toujours chez nous et alors deux petits chatons abandonnĂ©s au bord de la route pratique rĂ©guliĂšre ici.Heureusement que Gauthier n'accepte pas tous les caprices....Non en fait, on a dĂ©couvert un Gauth adorant les chats ;-On a aussi dĂ©couvert que Valentine n'apprĂ©ciait pas trop la compagnie des cafards, papillons de nuits, Maetika = les araignĂ©es en souvenir du film Un indien dans la villeOn est certain qu'avec quelques jours de plus parmi ces nouveaux petits insectes de compagnies, tu pourrais aller aux toilettes en fermant la porte ;-On a essayĂ© de leur mijoter de bons petits plats, par exemple "un barbecue de scampi ail et ananas j'en bave dĂ©jĂ ".Gauthier est devenu le spĂ©cialiste local du lui, est triste de ne plus avoir son petit verre d'accueil au portail en rentrant du boulot!Encore merci pour votre visite et surtout d'avoir orientĂ© un peu votre voyage vers notre petit coin de paradis, c'est vrai qu'on a la chance d'avoir un formidable terrain de jeu! Et vive Pizz-BurgerBastien, Marie Laure et Pouletika InvitĂ©InvitĂ© Jeu 27 Jan - 1726Un sac en toile sur l’épaule, un foulard remontĂ© devant ma bouche, je m’avance sereinement au sein de la forĂȘt. Le chemin menant aux cascades aux nymphes, je le connais presque par cƓur et, Ă  vrai dire, tant que l’on ne cherche pas trop Ă  se rapprocher du cƓur de la Telulhya, je pense qu’il est impossible pour moi de me perdre. Cela ne fait peut-ĂȘtre que quelques mois, un an tout au plus, que j’ai commencĂ© Ă  vivre ici, mais c’est comme si j’y avais vĂ©cu des annĂ©es, pour mon plus grand bien que je connaisse le chemin, je reste vigilant. AprĂšs tout, la forĂȘt reste un endroit sauvage et une seconde d’inattention peut suffire Ă  ce que l’on se retrouve dans les emmerdes jusqu’au cou. D’autant plus que, aujourd’hui, je ne suis pas seul. Jetant un coup d’Ɠil par-dessus mon Ă©paule, je m’assure que SĂ»ri suit le rythme. La connaissant, elle ne devrait pas avoir de mal Ă  me suivre, mais la connaissant, il se pourrait tout aussi bien qu’elle ait Ă©tĂ© distraite par quelque chance, elle semble toujours lĂ . Cela fait un moment que je songe Ă  l’emmener avec moi dans les bois. Elle se dĂ©brouille bien au jardin, mais si je pouvais absolument tout cultiver dans un jardin, je ne me ferai pas chier Ă  continuer mes explorations sur le terrain. De plus, Ă  l’état naturel, je ne peux que garantir la fraĂźcheur des produits et de leurs effets. Puis, ça permet de se dĂ©penser un peu. On y est bientĂŽt. J’espĂšre que tu as retenu le chemin. C’est toi qui nous ramĂšne tout Ă  l’heure. »C’est un peu brutal et soudain, mais ce n’est pas comme si elle ne commençait pas Ă  me connaĂźtre. Si elle se plante et bien ça la forcera Ă  retenir le chemin la prochaine fois. Et, de toute façon, c’est la meilleure façon d’ aux abords des Ă©tendues d’eaux, j'abaisse mon foulard tout en posant un peu brusquement le sac par terre avant d’en sortir deux petits couteaux dont un que je tends Ă  la jeune hybride. Bien. C’est comme dans le jardin. Sauf que les plantes ne sont pas parfaitement alignĂ©es Ă  attendre que tu les cueilles
 »Accrochant mon couteau Ă  ma ceinture grĂące Ă  un anneau Ă  la base du manche, je me dirige vers un arbre afin d’en inspecter les branches. Je plisse un peu les yeux et je parviens Ă  voir quelques fruits et quelques plantes grimpantes ayant Ă©lu domicile Ă  la cime. J’espĂšre que tu t’es prĂ©parer les griffes. On va commencer par-lĂ . »Sans plus de discours, j’utilise le tronc pour me propulser sur une branche un peu plus haute afin de me hisser dessus et commencer mon ascension. InvitĂ©InvitĂ© Lun 31 Jan - 1355​I am master of my destiny, I am captain of my soulComme bien souvent, affublĂ©e d'une cape couvrant ses Ă©paules. SĂ»ri s'autorisa le luxe de ne pas dissimuler ses appendices animaliers, avec la capuche en tissus de cette derniĂšre. En ces lieux, ils ne risquaient de rencontrer beaucoup de monde, si ce n'est se retrouver totalement seuls. Du moins, elle faisait assez confiance Ă  Leth pour qu'il ne l'entraĂźne pas dans une zone, qui pourrait lui ĂȘtre pĂ©rilleuse. Sous cette cape, l’hybride s'Ă©tait vĂȘtue assez simplement, et comme Ă  son habitude, d'une maniĂšre certainement peu adaptĂ©e pour la saison. L'avantage lorsque du sang de dragon coule de nos veines, Ă©tant de pouvoir jouir d'une chaleur intĂ©rieure constante. La demie-fĂ©line n'avait donc le problĂšme de souffrir des tempĂ©ratures trop froide, sauf dans l’extrĂȘme et en cas de faiblesse de sa part. C'Ă©tait arrangeant, lorsque l'on est du genre Ă  apprĂ©cier le fait de porter trop de matiĂšre sur soi. Mais par respect pour Leth, et pour Ă©viter toutes mĂ©sententes en cas de rencontre infortunĂ©e, elle opte tout de mĂȘme pour des vĂȘtements couvrant son corps distraitement ce dernier, la mĂ©tamorphe se laissait parfois dĂ©tourner par quelques Ă©lĂ©ments de la forĂȘt. Ses oreilles aux aguets, apprĂ©ciĂ©es les sons de la forĂȘt. Allant du pinson chantonnant, aux bruits des feuilles voltigeants, et bien sĂ»r, toujours attentive aux sons de Leth. Il serait bien dommage qu'elle vienne Ă  le perdre ici, bien que son limier fĂ©lin lui permettrait de le retrouver sans trop d'encombres. Un lĂ©ger sourire carnassier se dessina sur ses lĂšvres, lorsque l'humain voulut la dĂ©fier de pouvoir retrouver elle-mĂȘme le chemin en retour. S'il savait que cette derniĂšre venait peu Ă  peu, Ă  s'Ă©loigner de leur domicile pour dĂ©couvrir avec plus de curiositĂ©, ce qui les entoure. Elle se garde bien de tout lui dire, prĂ©fĂ©rant simplement le rassurer en lui affirmant qu'elle ne quitte pas le pĂ©rimĂštre qu'il lui a donnĂ©. Cependant, la mĂ©tamorphe n'est pas sotte au point de chercher Ă  les mettre en pĂ©ril. Sa nature fait d'elle, la proie de nombreuses personnes, mais Leth prĂ©fĂ©rait lui aussi rester dissimuler de personnes qu'ils ne connaissent. Chose que SĂ»ri respecte, et tente de faire au mieux pour ne pas le dĂ©cevoir. De toute Ă©vidence, malgrĂ© ses escapades, elle Ă©tait totalement capable de retrouver sa route. Alors, bien Ă©videmment, elle ne se faisait pas de soucis pour cette balade du jour. ArrivĂ©s Ă  ce qui semblait ĂȘtre leur destination, SĂ»ri observa la zone attentivement. Leth prit ses aises, prenant un couteau pour lui, et un autre pour sa partenaire. Accrochant le sien, il dĂ©bute son ascension sur l'un des arbres. Sur ces mots, SĂ»ri fit ressortir ses griffes, et plaça le couteau entre ses canines. Prenant garde Ă  ce que la lame ne la blesse pas, puis se dit de sa cape. Approchant de l'arbre Ă  son tour, elle planta ses griffes dans le tronc, puis, d'une agilitĂ© gracieuse et fĂ©line, s'Ă©lança Ă  son tour. DĂ©passant rapidement Leth, la minette sauta de branche en branche, prenant soin de veiller Ă  la soliditĂ© de ces derniĂšres. Elle avait l'habitude de ce genre de petits exercices, venant souvent Ă  se dissimuler dans les arbres pour Ă©pier les passants. Cet exercice devint pour elle, un petit jeu, prenant plaisir Ă  narguer son ami en venant Ă  lui passer en haut vers la cime, la mĂ©tamorphe se posa sur l'une des branches, jambes pendantes dans le vide. Reprenant le couteau en main, elle attendit que Leth vienne Ă  la Des griffes, il t'en faudrait certainement. Fais attention Ă  ne pas te faire mal en tombant, je ne voudrais pas te ramener en plusieurs morceaux. Lui Ă©tant plus sĂ©rieux, la rĂŽdeuse elle, se voulait plus taquine. Attendant qu'il vienne la rejoindre, son regard s'Ă©chappe vers l'horizon. taggedSELKIE InvitĂ©InvitĂ© Mar 1 FĂ©v - 1330Une branche aprĂšs l’autre, mon ascension se fait doucement, mais sĂ»rement. À deux-trois moment, je m’arrĂȘte pour observer les fruits portĂ©s par l’arbre. Ils ont encore besoin de mĂ»rir un peu, mais d’ici quelques semaines, ils devraient ĂȘtre plus que correct pour la ma route vers le sommet, ce fut sans surprise que je vis SĂ»ri passer comme une flĂšche, sautant branche aprĂšs branche, avant de s’installer sur l’une des plus hautes, laissant ses jambes ballantes dans le vide. Un lĂ©ger sourire en coin, s’inscrit sur mon visage lorsque son commentaire se fit prĂ©venant Ă  mon attention. Tu feras moins la maline quand tu seras privĂ©e de repas ce soir. »Non. Elle ne le sera pas, mais je suis certain que ça lui fera bien les pieds si ça mon ascension en agrippant une branche voisine Ă  celle de la jeune mĂ©tamorphe. Et ne t’en fais pas. Je te ferais pas le plaisir de tomber. »Me hissant et me tenant droit, dos au tronc, je profite Ă©galement pour observer l’horizon. Mon regard s’égara en direction de RhĂŒn et je ne pus rĂ©primer un regard mauvais et une grimace colĂ©rique. La simple vue de la citĂ© suffit Ă  m’ hais la ville. Ce qu’elle a fait de moi, ce qu’elle a fait de la sociĂ©tĂ©. Si cela ne tenait qu’à moi, je serais sans doute aller au-delĂ  de Telulhya, au-delĂ  des montagnes, histoire d’ĂȘtre certain de ne jamais revoir cette foutue ville. Cependant, mon regard se posa un instant sur ne peux pas l’abandonner. Pas plus que je ne peux abandonner les mĂ©tamorphes de la d’agacement, je me frotte l’arriĂšre de la tĂȘte en m’écartant prudemment du tronc pour porter mon attention un peu plus haut. TrĂšs bien, la pause est terminĂ©e. Ce qui nous intĂ©resse ici, c’est tout ce qui ne touche pas au corps de la plante. Bourgeon, feuille, fleurs. DĂšs que ça dĂ©passe du corps, tu coupes au plus proche. Et tant qu’on y est, on en profite pour observer les autres arbres, qu’on se casse pas le cul Ă  redescendre pour remonter. MĂȘme si ça doit pas ĂȘtre compliquĂ© pour toi, chatonne. »Je lui Ă©bouriffe les cheveux avant de me hisser un peu plus haut et d’entourer le tronc de ma jambe, histoire d’avoir un point stable lĂ  oĂč les branches sont trop fines et souples pour soutenir un retenant d’une seule main, j’attrape ma petite lame de l'autre afin de dĂ©buter ma collecte, sĂ©lectionnant mĂ©ticuleusement les Ă©chantillons dans un premier temps avant d’ĂȘtre plus gĂ©nĂ©reux. MĂȘme si on refera le tri une fois Ă  la maison, cela permet d’avoir un dĂ©but pour faciliter notre travail aprĂšs. Bien entendu, de temps Ă  autre, je jette des coups d'Ɠil vers la jeune fille, voir un peu comment elle se dĂ©brouille. MĂȘme si je ne doute aucunement que ça doit bien se passer. InvitĂ©InvitĂ© Lun 7 FĂ©v - 1455​I am master of my destiny, I am captain of my soulUne petite moue se dessine sur le visage de la fĂ©line, Ă  l'Ă©locution d'un repas qui puisse lui ĂȘtre entravĂ©. Bien que cela ne la contraria bien longtemps, puisque ne connaissant que trop bien Leth, elle savait parfaitement qu'il ne pourrait lui enlever cela. Au tel cas, SĂ»ri Ă©tait assez maline, et subtile pour savoir comment le faire changer d'avis. L'un des avantages de vivre avec une autre personne, Ă©tait de connaĂźtre suffisamment ses points faibles pour le faire faillir. La malicieuse Ă©tait assez douĂ©e Ă  ce petit jeu, n'usant de cette subtilitĂ© que trop souvent. Toutefois, elle Ă©vite de le faire trop souvent avec ce dernier, car lui aussi savait faire preuve d'ingĂ©niositĂ©. S'il se laissait au par avant berner par son minois, ce n'Ă©tait plus rĂ©ellement le cas Ă  ce jour... Pas toujours. Il la rejoint d'ailleurs assez rapidement, son regard se tournant un instant vers la ville. L'air jovial de SĂ»ri laissa place Ă  un rictus plus sĂ©rieux, dĂ©visageant ainsi son ami sans qu'il ne s'en rende compte. Etait-il malheureux de ne pouvoir vivre comme tout le monde ? Elle savait qu'il avait ses soucis, tout comme elle pouvait avoir les siens. Partageant tous deux le mĂȘme fardeau, mĂȘme si ni l'un ni l'autre, n'ait rĂ©ellement explicitement Ă©voquĂ©s leurs autant, au contraire de Leth, SĂ»ri ne regardait pas la ville d'un mauvais Ɠil... Mais plutĂŽt, curieusement. Elle Ă©tait bien trop petite pour se souvenir de la vie en communautĂ©. ArrachĂ©e de son plus jeune Ăąge, et ayant vĂ©cue la majeure partie de son existence derriĂšre une cage en tant que cobaye, elle n'avait connaissance de ce que l'on pouvait trouver derriĂšre ces bĂątisses. Elle savait qu'elle ne pouvait et ne devait y aller, d'autant plus que Leth ne la laisserait certainement pas commettre cette impaire. Mais cette petite voix en elle, la titillait parfois pour venir assouvir cette curiositĂ©. Des pensĂ©es, qui furent rapidement estompĂ©es par une main venant Ă  Ă©bouriffer sa chevelure. La minette Ă©mit un lĂ©ger grondement, et tenta tant bien que mal de remettre de l'ordre dans sa tignasse Ă  l'aide de ses griffes. - Je suis certaine que je vais collecter bien plus que toi, il est plus facile pour moi de passer d'arbres en arbres. N'est ce pas pour cela que tu m'as fait venir ? La rodeuse lui accorde un lĂ©ger mouvement d'Ă©paule complice, puis, reprenant son sĂ©rieux, pris son petit couteau en main et imite Leth. Ses gestes furent un peu maladroit au dĂ©but, aprĂšs tout, c'Ă©tait lui l'expert. Mais en l'observant, elle prit le coup de main, et semblait se dĂ©brouiller. Son regard s'accentua plus en bas, vers le bruit de l'eau provenant de la cascade non loin d'eux. Elle Ă©tait surement la raison de ces plantes fleurissantes dans le coin. Est ce que l'eau y Ă©tait agrĂ©able ? Au vu des tempĂ©ratures assez fraiches, ce ne serait agrĂ©able pour beaucoup... Mais le sang chaud de la semie-dragonne Ă©tait un avantage. C'Ă©tait sans compter son cotĂ© fĂ©lin, qui lui, rĂ©bute entiĂšrement cette idĂ©e. Savait-elle au moins nager ? En tous les cas, SĂ»ri ne se souvient pas qu'on lui ai appris cela. - Leth, tu es dĂ©jĂ  allĂ© lĂ -bas ? Tu n'aimerais pas vivre avec d'autres personnes comme toi ? D'un mouvement de menton, elle lui montra la ville. Sa question se voulut innocente, voulant simplement assouvir une curiositĂ©. SĂ»ri savait pertinemment qu'il serait dur pour lui de vivre en communautĂ©, mais entre vouloir et pouvoir... Les faits sont diffĂ©rents. Aimerait-il avoir cette option sous la main ? taggedSELKIE InvitĂ©InvitĂ© Mar 8 FĂ©v - 921Je ne pus me retenir de laisser s’échapper un lĂ©ger rire sonore lorsque SĂ»ri grogna en replaçant ses cheveux. Il ne faut pas y croire, mais ça lui arrive d’ĂȘtre une prĂ©cieuse, l’inverse est tout aussi vrai d’ailleurs. Ça, et le fait que, si tu peux rĂ©colter des trucs ici, ça me donnera l’occasion d’aller en chercher d’autres ailleurs
 »Plus loin dans la forĂȘt, plus loin et haut dans les montagnes, je n’aurais pas besoin de, rĂ©guliĂšrement, venir de m’approvisionner ici, ce sera son taff dĂ©sormais. Puis, faut bien que tu gagnes ta pitance, haha ! »Elle la gagnait dĂ©jĂ  amplement avec son travail dans le jardin, mais si on pouvait amĂ©liorer un peu notre train de vie, je ne dirais pas non. Encore plus si cela nous permettait de sauver une autre de ses semblables. Et si on y parvient, je ne dirais pas non Ă  un fauteuil confortable pour la fait longtemps que j’ai appris Ă  me contenter du strict minimum, car c’est pas comme si j’avais eu le choix. Quelque part, ce n’est pas plus mal, d’autre part, ça me permet d’offrir le confort Ă  des personnes comme SĂ»ri qui, pour des prĂ©textes Ă  la con, n’y ont jamais eu que la jeune hybride prenait le coup de main, j’attrape la petite lame entre mes dents pour sentir un peu certains produits, suspicieux quant Ă  leur Ă©tat. Ce fut Ă  ce moment que la jeune femme me demanda si j’y Ă©tais dĂ©jĂ  allĂ©, si je ne prĂ©fĂ©rais pas vivre avec d’autres personnes comme moi ».Jetant rapidement une poignĂ©e de fleurs dans un petit sachet, je rĂ©cupĂšre ma lame et la raccroche Ă  ma ceinture avant de me reposer sur la branche m’ayant accueillie juste avant. Je pointe de nouveau mon regard lĂ -bas » et aussitĂŽt une grimace me revient. Ouai. J’en viens
 »Je commence alors prudemment Ă  me rapprocher du bord de ma branche avant de me jeter dans un arbre adjacent. Saut qui me fait perdre un Ă©tage » de branche et qui m’oblige Ă  m’accrocher au tronc pour sĂ©curiser mon passage d’arbre Ă  arbre avant de reprendre un peu de hauteur. Et j’ai rapidement appris que j’en avais rien de bon Ă  tirer
 »L’orgueil, l’aversion, le stupre, la luxure, la violence. Non. Vraiment. Rien de bon. Et j’ai Ă©galement appris que, ce n’est pas parce que je suis avec des personnes comme moi » que les choses se passent bien. Loin de lĂ . »Je ne lui montre pas, mais certaines cicatrices ne sont pas particuliĂšrement belles Ă  voir et, Ă©trangement, il s’agit souvent des blessures les moins graves qui sont les plus disgracieux. Comme pour faire passer un message. Et ça, mĂȘme mon statut au sein des bas-quartiers ne m’en a pas dispensĂ©. Pourquoi ? Tu t’emmerdes ici ? Peut-ĂȘtre que tu ne supportes plus de voir ma gueule d’ange tous les jours ?... »MalgrĂ© un sourire lĂ©gĂšrement amusĂ©, je ne peux rĂ©futer les faits. Mes traits sont restĂ©s tirĂ©s par la colĂšre, la sĂ©vĂ©ritĂ© et la violence qui rĂšgnent au sein de la pĂšgre. C’est loin d’ĂȘtre le plus agrĂ©able Ă  voir, j’en ai conscience. Pourtant, je prĂ©fĂšre prendre ça Ă  la rigolade. En tout cas, je prĂ©fĂšre que tu t’en tienne loin et je refuse que tu t’y rende seule. »Est-ce que seulement elle m’écoutera ? Je l’espĂšre. Je n’ai pas envie d’y rappliquer en vitesse pour la sortir d’un mauvais pas
 AprĂšs, je ne peux me voiler la face indĂ©finiment. Un jour oĂč l’autre, ensemble ou non, elle et moi, nous y retournerons. De grĂ© ou de force. C'est une certitude. InvitĂ©InvitĂ© Ven 18 FĂ©v - 1101​I am master of my destiny, I am captain of my soulLe questionnement de la mĂ©tamorphe n'Ă©tait pas sans arriĂšre-pensĂ©e. Il lui venait parfois Ă  l'esprit, que Leth pourrait un jour, caresser l'idĂ©e de retourner vivre avec les autres humains. Bien qu'en soi, elle connaissait un peu sa situation particuliĂšre, faisant qu'il serait compliquĂ© pour lui, d'arborer cette idĂ©e. Mais nul ne sait ce qu'il adviendra Ă  l'avenir... Peut-ĂȘtre que les choses pourraient s'amĂ©liorer pour ce dernier. Et bien Ă©videmment, elle le lui souhaite. Si elle pouvait l'aider dans cette direction, elle le ferait sans aucune hĂ©sitation. Bien que... mieux vallait-il ne pas s'avancer avant d'affirmer cela. Car si Leth pourrait un jour retourner lĂ -bas, de toute Ă©vidence, il n'en serait le cas pour SĂ»ri. Elle n'a pas toujours Ă©tĂ© trĂšs honnĂȘte envers lui, ni mĂȘme transparente quant Ă  ce qu'elle Ă©tait rĂ©ellement. Parfois, elle se demande, s'il n'en viendrait pas Ă  la repousser en connaissance de cause. Pourtant, elle le savait aussi assez intelligent, et il va de soi qu'il a dĂ©jĂ  dĂ» remarquer qu'elle n'Ă©tait pas une mĂ©tamorphe ordinaire. Des oreilles fĂ©lines, mĂȘlĂ©es Ă  des cornes, une queue et des Ă©cailles de reptiles. De vĂ©ritables connaisseurs, tels que les chasseurs, sauraient de suite sa nature. MĂȘme s'il ne le sait pas, il peut toutefois, omettre un certain doute. Alors certes, une partie d'elle affirme qu'il ne la laisserait pas rĂ©ponse de ce dernier l'apaise un peu, tandis qu'elle tente de dissimuler ses craintes en continuant sa tĂąche. Coupant ces quelques fleurs qu'elle met dans la petite sacoche accrochĂ©e Ă  sa ceinture, elle l'Ă©coute d'une oreille attentive. SĂ»ri s'Ă©lança sur la cime d'un autre arbre, restant toujours prĂšs de Leth. Ses paroles, elle ne pouvait que les confirmer. Si lui aussi s'imagine ne rien pouvoir trouver de bon pour lui lĂ -bas, il en est de mĂȘme pour la rĂŽdeuse. Rhun, cette ville qui aura meurtri, et privĂ© SĂ»ri d'une partie de son humanitĂ©. En repensant Ă  ces annĂ©es de souffrance, sa main droite vint machinalement toucher l'une de ses cornes sur son visage. Ses appendices, qui venaient de temps Ă  autre Ă  la faire souffrir pour lui rappeler qu'elle n'est qu'une simple crĂ©ation. Un mal qu'elle cache, ne voulant que Leth s'inquiĂšte inutilement. De toute Ă©vidence, nul besoin de le confronter Ă  un souci pour lequel il ne pourrait rien y faire. Ses cornes comme ses Ă©cailles, sont parfois source de nuit agitĂ©e, brĂ»lant sa peau qui en est recouverte. Toutefois, les paroles de Leth vinrent rapidement Ă  l’extirper de cette dĂ©tresse, et Ă  tourner son regard vers lui. Bien qu'il voulut plaisanter de la situation, elle le connaissait parfaitement. Les traits de son visage indiquent sa frustration, confrontant SĂ»ri Ă  un sentiment de dĂ©solement. Son but n'Ă©tait pas de lui faire revivre de mauvais souvenirs. La fĂ©line s'Ă©lança alors vers le mĂȘme arbre que lui, sur une branche plus au-dessus. Ses jambes prirent appui sur le tronc, et laissĂšrent ainsi retomber son corps dans le vide, suspendu au-dessus de la tĂȘte de son ami. Son visage prĂšs du sien, leur regard Ă©taient Ă  la mĂȘme hauteur. L'une de ses mains vint Ă  donner une lĂ©gĂšre pichenette sur le front de ce Parce que tu crois que je pourrais me lasser de la voir cette... Gueule d'ange, comme tu dis. Entre nous, soit dit, il va falloir tout de mĂȘme revoir le terme. Un sourire amusĂ© et narquois sur son visage, elle lui assura ainsi, mĂȘme si c'est de maniĂšre peu sĂ©rieuse, qu'elle n'avait aucunement l'idĂ©e de s'en aller. D'un bref Ă©lan, elle força sur ses cuisses pour se redresser et s'asseoir sur le De toute Ă©vidence, il vaut mieux que je ne te laisse seul. Qu'adviendrait-il de toi sans moi ? Ta vie avant ma prĂ©sence, n'Ă©tait que morne et monotone. Je ne voudrais pas que tu retournes dans cette vie morose... Qui plus est, il faut bien quelqu'un pour veiller sur toi, et pour te soigner quand tu ne veux pas l'ĂȘtre. La malicieuse semblait s'amuser de la situation, prenant un ton ironique et faussement vrai. Pourtant, une partie de ses mots Ă©tait concret. Elle ne comptait pas le laisser, tant qu'il accepte sa prĂ©sence Ă  ses bruissement vint alors stopper SĂ»ri dans ses propos, un bruissement oĂč... Un gargouillement. Sa main vint Ă  se poser sur son ventre. Ils avaient fait un bon chemin pour venir jusqu'ici, et la gourmande ne pouvait passer guĂšre bien longtemps avant de sentir la faim venir. Une chose est sĂ»re, elle n'allait pas rester bien longtemps concentrĂ©e sur sa tĂąche, si elle avait envie de se remplir le ventre. taggedSELKIE InvitĂ©InvitĂ© Dim 27 FĂ©v - 2121Parfois, je me demande si je ne penche pas un peu trop dans le pessimisme ou le fatalisme. Au final, je me rassure en me disant qu’il s’agit ni plus ni moins que du pragmatisme et d’une pointe de factuelle. Par mon simple statut d’humain -et surtout mon sale caractĂšre et ma tendance Ă  me foutre dans des situations pas croyable- je finirais indubitablement par retourner Ă  RhĂŒn, que cela me plaise ou je ne pense pas avoir vraiment d’y rĂ©flĂ©chir davantage lorsque SĂ»ri, perchĂ©e juste au-dessus de moi, vient se suspendre au tronc par les jambes afin de planter son regard dans le mien, je hausse lĂ©gĂšrement un sourcil, l’agrĂ©mentant d’un petit sourire en coin. Quoi ? Tu veux qu’on s’embrasse, chatonne ? »Fier de ma connerie, la sentence ne tarde pas et son doigt vient percuter mon front dans une petite pichenette bien sentie. Bien entendu que tu ne pourrais t’en passer. Je suis ton dieu et maĂźtre, haha !... »AprĂšs, elle n’a pas tort niveau gueule d’ange », on avait dĂ©jĂ  vu plus adorable que mon auguste faciĂšs. Mais, tu as raison, gueule d’ange », ça ne me va pas. Être un enfant de chƓur, trĂšs peu pour moi. »Je m’y Ă©tais dĂ©jĂ  essayĂ© par le passĂ©, mais ça n’a clairement pas Ă©tĂ© Ă  mon avantage. J’ai arrĂȘtĂ© de vouloir ĂȘtre innocent et naĂŻf depuis bien longtemps. Tandis que l’hybride se redresse et s’installe, je me hisse Ă  mon tour afin de m’installer Ă  ses cĂŽtĂ©s sur la branche. Il n’y a que dans ce genre de moment oĂč je n’ai pas Ă  jouer la comĂ©die concernant mon avis sur les hybrides. Je n’ai pas envie qu’on vienne me casser les pieds avec le plus grand problĂšme de notre temps qu’est l’esclavage. J’avoue. Si je ne devais pas veiller sur toi, je pense que je me laisserais aller. Puis, ça fait du bien d’avoir quelqu’un sur qui je peux compter sans craindre que ça ne me retombe sur le coin de la face. Une bĂ©nĂ©diction que je sois tombĂ© sur toi chez ce gars. Ça me donne une raison de ne plus faire totalement le con. »Comme je l’ai dit, je dois veiller sur elle. Si je venais Ă  y passer, elle serait sans nul doute refoutu sur le marchĂ© et, au vu de ses attributs particuliers et de son caractĂšre, je ne pense pas que ça soit pour le mieux. Elle pourrait passer pour une raretĂ©, mais son attitude, mĂȘme si elle ferait attention, risquerait d’ĂȘtre problĂ©matique sur le long terme
 Enfin, je qu’elle semblait vouloir poursuivre, un drĂŽle de grognement » vint se faire entendre. Trop fort et sourd pour venir d’en bas ou de loin et trop grave pour provenir d’un quelconque volatile qui pourrait traĂźner dans le coin. Puis, lorsque la main de la jeune hybride vint se placer sur son ventre
 Disons que le doute Ă©tait peu permis. Hahaha. Mais qu’est-ce que je vais faire de toi, mon ventre sur patte ? Allez, viens. »Glissant doucement de la branche, je commence Ă  me rapprocher petit-Ă -petit du sol, attrapant deux-trois fruits qui traĂźnent sur le passage avant de, une fois au sol, farfouiller dans mon sac. Je n’avais pas pris grand-chose de comestible, pensant pouvoir rentrer avant que l’estomac de SĂ»ri ne fasse des siennes, mais je m’étais fourvoyĂ©. Bon. J’ai un peu de pain et, ouai, un petit bout de viande sĂ©chĂ©e
 »Vraiment pas grand-chose. Heureusement, j’ai chopĂ© les fruits, ça sera toujours ça de gagner. DĂ©posant la bourse contenant mes rĂ©coltes dans le sac, je me redresse et m’approche de l’eau. Si on se dĂ©merde, on devrait pouvoir avoir un peu de poisson. »Restait Ă  en trouver. AprĂšs, je ne suis pas le meilleur lanceur de couteau, mais mes compĂ©tences devraient suffire pour pouvoir piquer un poisson avant qu’il ne file. Contenu sponsorisĂ© CrĂ©er un forum © phpBB Forum gratuit d'entraide Signaler un abus Forum gratuit Informatique et Internet Internet

il s en passe des choses dans ma cité